Village de Nevers Nevers, petit village en bord de Loire. |
Amies et amis défenseurs, pensez à passer chaque jour vérifier si vous êtes de garde ! La sécurité de notre ville en dépend. Merci ! |
| | salle de lecture | |
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Auteur | Message |
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sensunique
Messages : 78 Date d'inscription : 25/05/2008
| | | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mer 4 Mar - 15:14 | |
| - Giles a écrit:
- Giles, qui était nouveau dans la ville, voulut offrir quelque chose à la maison des arts.
Il apporta donc un sonnet qu'il avait composé pour l'occasion et en remit le parchemin à Emmaline.
[rp]La maison des arts de Nevers
Aristote, Aristote, à l’amour passionné, Où donc as-tu guidé mes pas dans ta lumière ? Moi, le pauvre mendiant, égaré, sans chaumière, Moi qui n’ai pour trésors que rimes et sonnets ?
A la maison des arts, me voilà, étonné … La magie et les mots exhaussent mes prières. Le rêve et les couleurs ravissent mes paupières. Quel endroit merveilleux nous est donc là donné !
Dans ce lieu où gaîté jamais ne prend de l’âge S’épousent danse et chant en un bien beau mariage. Peinture et poésie illuminent nos vers.
Et de ce feu de joie émane le génie D’une ville étonnante entre toutes bénie. Que rayonne à jamais le beau nom de Nevers. [/rp] | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mer 4 Mar - 15:16 | |
| - Saule a écrit:
- Il était déjà venu en ce lieu, mais discrètement sans se faire remarquer. Les Arts en général lui plaisaient beaucoup…
De nature un peu sauvage, il ne s’était pas senti le courage de venir exposer ses textes et puis… une Rencontre Magique et de Délicieux Instants en compagnie d’une Ravissante Personne le poussèrent à sortir de sa réserve afin de chanter les louanges de cet être qui bouleversait désormais sa Vie !
Pour TOI qui as su conquérir l’humain qui se dissimulait au fond de mes entrailles !!
L’EGERIE
La beauté des nu… … Dée m’a hantée Dans le flux et le reflux D’une aube immaculée Merveille des Merveilles
La beauté dénuée De superflus m’est apparue Telle une nuée D’étoiles multicolores aglu… … Tinées dans le lobe d’une oreille
Et coule le vin de la treille Pareil à de l’eau suintant Le long des parois du ciel Semblable à ce vent démen… … Tiel qui me saoûle
Et qui coule dans ce cor… … Ridor étroit et sinueux J’essaie d’exorciser le sor… … Tilège envoyé par le feu… … Tre de tes yeux d’artifice
- Ciel - quel divin supplice
Alors éclate le crescendo De ton rire rivière Lentement tu écartes… … Tes paupières
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| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mer 4 Mar - 15:19 | |
| Saule a ecritUn certain grimoire venait tout juste de s’ouvrir devant ses yeux tout comme une contrée soyeuse… Lorsqu’il n’était pas à ses côtés, il ne pensait qu’à Elle, n’écrivait que pour Elle, se noyait littéralement en Elle… L’ENCHANTERESSE
Un brin rien qu’un sublime et torride brin, Une esquisse sensible à peine dévoilée, Des envoutements qu’elle plante en mon sein. L’Enchanteresse a su m’apprivoiser !
Enlève-moi, ô Splendide Maitresse !
Je ne rêve plus d’instants délicieux, Des chemins et des saveurs de la chair. Je les vis à présent, je découvre radieux La Femme et ses intimes mystères…
Que ce Jeu Magique, jamais ne cesse !
Des sensations étranges naissent en moi, Quand ses lèvres se posent sur ma bouche. Mon corps rebelle alors, tremble d’émoi ; La fièvre me gagne dès lors que je la touche.
O Somptueuses et Enivrantes Caresses !
Il me reste énormément à découvrir ; Auprès d’elle je vis, en de bonnes mains, Nous nous dirigeons vers le pays du Jouir, Je ne veux que ma tête contre son sein…
Eveille-moi, ô Mon Enchanteresse !
Thaly a ecrit: Rien que pour TOI ... J'ai finalement suivi tes conseils et j'ose l'accrocher à "la Maison des Arts" Citation: - Citation :
- Je volerai tes lèvres aux moments opportuns
Je rendrai ton sourire joyeux qui te vas si bien J'embrasserai tes yeux aux 4 coins du vent Je pousserai ton coeur à m'aimer grandement
Je fusionnerai nos âmes-soeurs de Taureaux J'égrènerai le temps-virtuel, notre bourreau Je nourrirai ton esprit au nectar de mes mots J'enivrerai tes sens pour guérir de tes maux
J'attiserai la flamme de ton corps en émoi Je n'étancherai ta soif de pratique de moi Je renaîtrai du s*X* juchée sur ton membre Je tuerai ton absence .... à coup de rêves tendres.
Je t'aimerai ... tout simplement !! | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mer 4 Mar - 15:21 | |
| Saule a ecrit
Un moment qu’il n’était venu à la maison des Arts, en arrivant dans la bâtisse cette fois-ci, il entendit des voix et des bruits… Il s’approcha discrètement – en prenant soin de rester dissimulé derrière une colonne – il vit deux hommes et une femme en plein cour de danse. Amusé, il les observa pendant un temps, pensant que la danse n’était certainement pas faite pour lui… S’il avait eu plus de temps, il serait partit chercher un tonneau de cervoise, les deux messires tiraient la langue et avaient l’air assoiffés. Mais le temps justement lui manquait, il fila vite déposer son texte en place publique, il avait ensuite l’intention de filer à la capitainerie… Une rumeur laissait entendre que la nouvelle Capitaine du port était... disons fort accueillante… Il sourit, en évoquant sa Belle Enchanteresse et la tête qu’elle ferait en le voyant passer la porte de la capitainerie…
toi qui m’a tendu la main et mené vers des Hauteurs dont je ne soupçonnais pas l’existence. Ame claire faite de délices pourpres et immaculés, Là je veux m’étendre et perdre connaissance. Y a-t-il meilleur gite que les bras de son Aimée ?
Décence, loin de moi, va-t-en et disparait ! En son sein je veux rester, elle me fait découvrir
La puissance magnifique des corps et leurs attraits ! A ce monde je me voue, fait d’uniques plaisirs.
Ma Belle qui m’est apparue comme une Enchanteresse, Allumant l’ardeur de feux alors inconnus de moi, Le prince vagabond s’abandonne à tes subtiles caresses ! Avec élégance, j’apprends sous tes baisers ardents, l’émoi ; Désormais pour toi, sous mes guenilles, mon membre se dresse. Ris de ce rire né de l’orgasme et qui me couronne roi ! Y a-t-il plus belle chose que notre désir, ô ma Pécheresse ? | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mer 4 Mar - 15:28 | |
| Thaly était sans voix ... le Bel Enchanteur avait assuré !!!! Elle afficha tout de même à Son intention son modeste écrit ... non sans un sourire complice.
"Cap'taine Pêcheresse !"
Délicieux Moussaillon offre moi l'ivresse ... de voyages exquis vers ton inconnu. Envoute moi par le chant des promesses ... me dévoilant peu à peu, ta vertu.
J'aime naviguer à tes yeux immenses ... et sur tes lèvres, savourer le sel. Explorer les îles de ton esprit sensuel ... voguant en silence au ciel de nos absences.
Chavirer ensemble, encore & plus fort ... sombrant sous l'assaut des mystères Prier que le temps perdure notre trésor ... ne voulant plus mettre pied à terre.
La tempête en nos corps maintenant fait rage ... le naufrage des sens est pour bientôt. Dresse ton mat, flotte l'étandard du partage ... bercé, rythmé par la cadence des flots.
Mallorick a ecrit:
(Posté le: 21 Jan 2009 10:00 )
Il avait promis alors il tint sa promesse. Il déposa le parchemin qui contenait ses écrits. Il avait écrit ce texte en voyant un nain faire la quête à la sortie de la messe. Il soupira !
Comment affronter le regard des autres s'ils trouvaient son poème mauvais ?
Il ne se retourna pas, un drôle de boule lui narguait l'estomac. Il l'a reconnu... c'était de la peur !
L’antre de la différence,
Seuls parfois sont ainsi les humains, Même très entourés ils sont seuls. Par accident ou par volonté, ils errent sur les chemins Leurs âmes tourmentées bien plus qu’ils ne le veulent.
Ils se perdent dans les méandres du néant Et comblent leur vie de petit rien. Ils souffrent en silence en faisant semblant, En espérant un miracle, un meilleur demain.
Mais à quoi bon s’entourer des autres ? Lorsque l’indifférence supplante tout ! Je suis différent est-ce ma faute ? Dois-je souffrir debout plutôt qu’à genoux ?
Nul regard ne se posera sur moi, Nulle gentillesse, nulle attention. Que de l’indifférence ou des regards froids Tel est mon quotidien, je dois m’en faire une raison…
La solitude est ma seule compagne sur terre, Et je dois l’accepter ainsi ! Seul pour la vie, mon orgueil se terre, Entendez-vous mon silence qui pousse un cri ? Karlusius a ecrit
(Posté le: 22 Jan 2009 21:14 ) Karl arriva avec son modeste écrit.
Le posa sur la table.... je vous laisse le lire, il s'appelle " Je serai pour "
Je serai, ton soleil sur ce ciel d'été, La plume dansant sur un bout de papier. Tu seras, mon rayon de lune, L'inspiration de ma plume.
Je serai cet iris de feu, Celui qui brillera dans tes yeux. Tu seras, l'air de mes poumons, Car vivre sans toi c'est l'oppression.
Je serai cette douce neige qui tombe, De tes paroles tu me feras fondre. Tu seras cette saveur, cette essence, Celle qui donnera à ma vie un sens.
Je serai ce grand vent de passion, Celui qui balayera ta raison. Tu seras cette douce lueur, Celle qui éclaireras mon coeur. Je serai pour toi, et pour moi tu seras.
Se retira discrètement | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mer 4 Mar - 15:30 | |
| mallorik a ecrit
A toutes les femmes qui nous font tourner la tête !!!!
Tu es là
Tu es là tout près de moi Femme de mes rêves les plus fous Nymphe rêveuse qui me met aux abois Splendide ingénue aux sublimes atouts.
Tu es là, telle une déesse Virevoltante dans tes jupons soyeux Je te regarde et je n’ai de cesse De te dire que ton rire est merveilleux.
De te dire que ton visage est doux Que tes lèvres incitent au plaisir Que ton charme me laisse sur les genoux Que pour toi je ferai le pire
Muse ensorceleuse, créature envoutante J’aimerai te murmurer des je t’aime T’offrir des nuits fiévreuses et brûlantes Pour ne m’endormir qu’au petit matin blême.
J’aimerai, j’aimerai… Et j’ai tant de chose à te dire Mais me laisseras-tu réaliser mon souhait ? Où ne resteras-tu qu’un délicieux souvenir ? Mallorick | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mer 4 Mar - 15:31 | |
| Saphirella a ecrit:/[b]
[b]On a parfois des rêves enfouis Oubliés au fil des ans Des rêves d’enfant, puis d’adolescent On imagine un monde fait de douceurs On ouvre alors nos cœurs Mais en grandissant on réalise Que le monde est fait tout autrement Que la vie dont on rêvait enfant Ne sera jamais rien qu’un rêve Dans notre mémoire enfoui
Il arrive aussi que le rêve Tourne au cauchemar Que le rêve soit inachevé Nous laissant seul sur la grève Pour un éventuel nouveau départ D’une vie inconnue à explorer La perte d’un être cher Réduisant à néant Nos rêves d’enfants
Il suffira alors d’une étincelle D’une rencontre, de celles Pour qui on ouvrira de nouveau le tiroir De notre mémoire Le rêve enfoui, oublié au fil des ans Deviendra alors réalité Pour peu qu’on se batte pour le réaliser La vie souhaitée enfant Rendra notre coeur battant
Rêves et chimères Continuez de peupler nos nuits De nous donner la force et l’envie Même au prix d’un goût amer De nous battre pour réaliser Nos rêves doux ou douloureux Seul ou à deux Tout au long de ces années...
Saphirella (1456) | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mer 4 Mar - 15:33 | |
| Saule a ecrit
Voilà quelques jours déjà qu’il n’était venu ici et à sa grande surprise, il constata que d’autres enfin avaient déposés leurs œuvres…. Il les lut lentement avec attention, puis les relut à nouveau… Tellement de sensations s’exprimaient dans ces textes, de puissance… Ilse souvint alors de la discussion en taverne avec Saphirella et Mallorick et il sourit en hochant la tête espérant bien les recroiser et poursuivre cette…. Discussion !
Puis il déposa l’objet de sa présence icelieu :
Tiens bon la barre, ô Vaillante Cap’tain ; Hisse oh la grand’ vergue du moussaillon, Allez toi le marin, souque ferme sans peine. Laisse-la déposer des baisers papillons, Y’a rien que la mer, le ciel et aucune gêne.
Du fond de la cale au mât de misaine, Elle est élément en furie et se déchaine !
Lance des œillades, agrippe le goupillon Avec avidité et agilité de son vagabond !
Même si je la préfère nue et sans laine, Avec pour apparat, sa splendide toison ; Livrée au flux et reflux, elle reste sereine. Animal jusque dans ses ultimes pulsions. De la voir ainsi j’ai le sextant, pour ma Reine Toujours en alerte et au bord du frisson ! Y’a le navire qui tangue, le flot nous entraine…
------------------------------
Moi ventre clair
Sang bleu
Elle multitude
Veines transparentes
Equilibre constant
Elle contorsions
Esquisses désinvoltes
Moi barricade
Tonalité abrupte
Elan cadencé
Rencontre
Quoi en fin de compte
TOURBILLON
Vallée submergée
Couche humide
Gestes flexions
Ré
Récif
Si
Naufrage
Et là
A nouveau
Station verticale
Face à face
Le corps de l’un
Epris de l’autre
---------------------------
Viens par là petite Que je te parle De mes horizons incandescents Que je te glisse De mes gouttes de cannelle
Les couleurs et les parfums M'envahissent quand Lorsque sur ta peau Je m'attarde
Les épices les plus délicates Comme des trésors inépuisables Odeurs enivrantes Ont pris racine en toi
Je cherche la fleur rare Et je vois les couleurs
Rouge Paprika Vert Pimprenelle Noir Poivre Marron Muscade Jaune Safran
Mon organe olfactif Transcende Ton arithmétique coloré | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mer 4 Mar - 15:34 | |
| Cela faisait longtemps que Saphi n'avait pas écrit de poème mais l'envie de s'y remettre lui apporta l'inspiration nécessaire Elle s'empressa alors de revenir à la maison des arts
Délicieuse osmose, tendresse infinie Qui jour après jour Fait de toi l'amour de ma vie Transcendant à jamais ce merveilleux amour
Combien de fois eveillée ou non Ai je rêvé de ton regard posé sur moi De ta voix prononçant mon nom Provoquant en mon coeur ce doux émoi
Tout celà me fait comprendre Que mon rêve est réalité Combien de temps ai je du attendre Pour dans tes bras m'abandonner
Combien de fois endormie T'ai je retrouvé dans mes songes? Combien de fois éveillée Me suis je retrouvée dans tes bras
Toi et moi mon amour Eternels amants Depuis le premier jour Et ce jusqu'à la fin des temps.... | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mer 4 Mar - 15:37 | |
| Philomen a ecrit
pour toi mon amour
Tout a commencé quand nos regards se sont croisés, Tu a renversé mon coeur, tu l'a fait chaviré. Un vent d'amour m'a fait perdre la tête Notre amour grandit de jour en jour Je te laisse entrer et ferme mon coeur à double tour.
Dans tes bras je pars m'envoler Dans un monde doux et sucré.
La flamme de mes yeux s'est allumée Le soir ou nos lèvres se sont touchées. Aujourd'hui le destin nous appartient A nous seul de savoir prendre le même chemin. Mon amour pour toi est le plus grand Je n'ai aucun doute sur mes sentiments.
Yumi je t'aime. | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mer 4 Mar - 15:39 | |
| Adria était hésitante à laisser une partie d'elle-même en ce lieu... mais elle désirait aussi laissait une trace infime de son passage ici...
Entre la tête et le coeur Existe un monde de bonheur Où on ne compte pas les heures Où il n'y a pas de leurres Entre la tête et le coeur Existe un monde rêveur Entre la tête et le coeur Vit l'éternel espoir Lumière perçant le noir
Entre la tête et le coeur Existe un monde tourmenté Où les âmes se meurent Entre la tête et le coeur Naissent des larmes versées Pour l'envie d'un baiser Pour l'envie d'une caresse Pour en connaitre l'ivresse
Entre la tête et le coeur Existe un monde éprouvé Où triomphe la fatalité Où l'on se perd dans le brouillard Entre la tête et le coeur On se lance à la recherche d'un phare Où s'abriter, se réfugier
Entre la tête et le coeur Existe un monde de douleur Où perce la douceur Où survit la candeur Entre la tête et le coeur Existe un monde de larmes Où s'écorchent les peurs Où s'abaissent les armes
Entre la tête et le coeur existe un monde de dualité Où les rires et les pleurs Confondent leurs couleurs Entre la tête et le coeur Existe un monde infini Où la réalité s'oublie Où les fantasmes se meurent
Entre ma tête et mon coeur Existe un monde d'illusions Où il n'y a plus de saisons Où il n'y a plus de raison
Entre ma tête et mon coeur Existe un instant Entre ma tête et mon coeur Existe un moment Où je te retrouve Où je te découvre | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mer 4 Mar - 15:43 | |
| LE MARIN
Il porte le bonnet bleu et la barbe naissante, Dans ses yeux délavés on y voit l'horizon. Il a les joues creusées et la mine réjouissante Le marin est fier d'être Normand ou Breton.
Une fille dans chaque port et aucun port d'attache Telle est sa devise à tort ou à raison. Sachez belle dame que jamais le marin ne s'amourache Et ne succombe que rarement à une véritable passion !
La mer le désire et toujours l'appelle C'est sa seule compagne son unique maitresse ! Il lui sera toujours et à jamais fidèle Personne ne rivalisera avec cette traitresse.
Au loin un bateau tangue, il va rentrer au port Le grain se lève et elle relève son col. Elle, jeune fille venue d'un peu plus au Nord, N'aimerait que jamais un marin ne la déboussole...
Mallorick Thaly a ecrit
Thaly lisait et relisait le poeme de Mallorick ... décidement, son fillot la surprendrait toujours !!! Elle sortit de sa besace un joli parchemin qu'elle accrocha à côté du sien Je me lance ... tu as dis fonce, alors ... je fonce !!!
Ces mots sont pour mon Bel Enchanteur ... Saule de Nevers
La forêt mystérieuse
Caché bien à l'abri au coeur de la nature, Sur le fil des saisons IL a tracé sa destiné Remplie de couleurs aux tendances "verdure", Grandissant chaque instant au milieu de la forêt.
Mon tendre Aimé est né de l'absolu, Telle la graine d'arbre, déposé par le vent, ... Espérant ... le souffle du renaître éperdu, Comme d'une âme posée sur les ailes du temps.
Il a dans le regard les reflets de sa terre, La douceur des traits dessinée par le charme, Une voix sensuelle qui berce mon corps de flammes, Semant son parfum de rosée dans mon ciel de Nevers. Jovalpeye a ecrit :
Posté le: 06 Fév 2009 14:44
Au bord du lac
Un couché de soleil Reflet qui merveille Comme diamant scintille Milles étoile y brille
Comme dans tes yeux brillant Plongeante et chancelante Je me laisse envahir A ce moment de plaisir
Mon coeur crit bonheur Mais c'est quoi cette chaleur Cette flamme brulante en moi Qui s'allume au moindre signe de toi
Dans cet ecrin de douceur De ce velour qui est mon coeur Je t'offre mon diamant Mon époux, ami et amant
Chaque matin au reveil Je te vois mon rayon de soleil Tu as brisé l'armure de mon coeur Pour y enfermer le bonheur
Laisse moi te rendre cette amour Te donner carresse de velour T'embrasser avec passion A t'en faire perdre la raison
Te rendre fou d'amour Juste pour toujours Laisse toi envahir Par moi qui te désir | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mer 4 Mar - 15:49 | |
| 11 Fév 2009 11:43
bonjour je suis soleille.
Un rayon luit dans mon cœur, J'aspire au vrai bonheur Celui qui rend euphorique Ceux ou les mots sont poétiques Et veux par ce beau biais Être moi aussi l'attrait De vos jolis vers où l'Art Règne ici sans hasard Être la poétesse soleille Connaitre le vermeil De ces rimes le joyau Balader sur ces mots Mon doux, tendre espoir De vous les faire entrevoir
Soleille Jovalpeye
Tout est si fragile Oh! que rien n'est facile Cette douleur qui prend le coeur Quant les yeux se remplissent de pleures
Cette absence douloureuse Qui vous rend si malheureuse Ce couteau qui s'enfonce toujours Quant s'envole l'amour
Des route se croisent ou se défont les chateaux se contruisent ou s'écroulent Des coeur s'animent ou se brisent Dans les bras on fond ou on s'ecartent
Il y a des erreures qui font des malheurs Dans des chaumieres ou se fait entendre des pleures Des larmes qui passent au rire Les pensées que l'ont n'ose dire
Des coeurs ouvert à la passion Enfermez vous dans la douce prison Laissez votre coeur dans l'écrin de velour Laissez vous emporter pas l'amour
L'amour se sentiment qui donnes des ailes et qui fait battre le coeur L'amour se sentiment qui peut briser ses ailes et ce coeur.
********************************************************************** Elle a rever un jour A un trés bel amour Elle a jouer avec son coeur Cela n'a pas fini en bonheur Elle a donner tant de baisers Qu'elle a fini par se blesser Ses levres se son desseché Elle a donné sans compté Elle à perdu sa raison Elle ne demande pas pardon Car elle va jamais à reculon Mais si vous la croisez un jour Je vous en pris ne lui parlais pas d'amour Elle a fini d'y croire et de rever Cela ne fait que l'enerver Elle es un grand coeur bléssé Alors elle ne donnera plus de long baiser Et n'attendra plus d'etre blesser Son corp ne sera plus que d'aventures Mais son coeur resteras pure Donner lui mille baisers Mais ne chercher pas à la matter Cela ne fera qu'empirer Son coeur est à présent fermé
_____________________________________________________________________________________
Soleille_83 a ecrit Un Lac de Mots
Où mes mots ricochent, jolis ronds sur mes rimes Jusque sur l'autre rives; ils se posent et sans frimes
Attendent que vos yeux, sur le vélin se posent Et découvrir le secret de mon plaisir je n'ose
Vous dire, que sur les murs de l'art, la poésie Est mon péché mignon, mon obi, ma folie
Ce fou d'alexandrin, vient toujours à tâtons Titiller mon envie de rimer sans façons
Alors dites moi vous, qui aimez tant les mots j'ai visé votre cœur ? vous les offre en cadeau
Sur parchemin ma plume, tous ces vers ricochant Où dans un lac d'encre, mes mots y sont puissants
Soleille | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mer 4 Mar - 15:51 | |
| Adria était adossée à un arbre à l'entrée de la maison des Arts et laissait ses pensées vagabonder sur sa vie... Sur la vie qu'elle avait eu depuis son arrivée à Nevers. Elle avait cru en beaucoup de chose.. et avait été déçue par beaucoup de gens. Elle avait perdu espoir voir même confiance en les sentiments du coeur. Jusqu'à ce qu'il apparaisse dans sa vie.
Un sourire étira ses lèvres et ses yeux fixèrent un point imaginaire et son visage, son sourire furent presque tangible. Son amour pour lui l'était et il se renforçait de jour en jour. Jamais elle n'avait rencontré un homme comme lui. Jamais elle n'avait aimé comme elle l'aimait.
Son coeur se gonfla d'amour et une douce brise caressa son visage faisant aussi virvolter ses mèches rebelles. Une inspiration soudaine l'envahit. Elle tenta de graver les mots dans son esprit pendant qu'elle sortait de sa besace plume et parchemin.
Elle l'écrivit d'un trait.. sans s'arrêter laissant son coeur écrire son amour pour lui... Pour son Blerim.. Celui qu'elle allait bientôt épouser. A cette pensée.. un sourire encore plus large s'afficha sur son visage légèrement rosit par le vent frais. Elle relut son poème. Elle aurait pu changer des mots.. trouver une autre façon d'écrire la phrase.. mais elle ne le fit pas. Ce qui noircissait le parchemin était ses sentiments à l'état brut.. à l'état pur. Et c'est cela qu'elle voulait dire au monde entier.
J’étais là, Avançant solitaire Habitée par des douleurs amères
J’étais là, Le coeur en morceaux L’âme en lambeaux
Déçue par l’amour Emplie de fausses promesses Mais de réelles tristesses Tout semblait si noir si lourd
Et te voilà... Un parchemin Un geste de la main
Tes yeux et ton sourire Ta chaleur et ton rire Le voile se retire Voila mon coeur qui chavire
Tu as fait fondre Ce que je voulais voir durcir Tu as su éclaircir Mes douleurs les plus sombres
Mon âme s’est alléger D’étoiles, elle s’est habillée Sous l’intensité de tes baisers
Tu as fait renaître l’espoir Tu as fait disparaître tout le noir Qui m’habitait Qui me rongeait
La vie est devenu plus magique qu’un arc en ciel Plus légère qu’une hirondelle Plus scintillante qu’une étincelle
Tu es celui que j’attendais, Celui que j’espérais Celui que j’aimerais Et que pour toujours je chérirai
Car tu as su redonner, sa beauté Au verbe Aimer [u]Philomen50 a ecrit[/u]
(Posté le: 28 Fév 2009 22:12 ) j'ai tous simplement mal au coeur
J'aurais aimé que cela dure un peu plus longtemps J'aurais aimé ne pas souffrir autant
J'aurais aimé que tu me serres fort J'aurais aimé t'entendre dire : à la vie, à la mort
J'aurais aimé ne pas pleurer J'aurais aimé tout contrôler
Mais tu as fait un choix Toi et moi ça ne se refera pas
Tu penses que ça aurait mal fini Mais où en sommes-nous aujourd'hui ?
Encore une fois je suis seule dans mon lit Les larmes aux yeux, loin de toi je me languis
Encore une fois, ce soir, je t'aime et te supplie... | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mar 4 Aoû - 9:09 | |
| saule a ecrit: - Citation :
- Il sortit de sa tanière, lui qui restait dans l'obscurité depuis des jours et des nuits, en rasant les murs.
Longtemps qu'il n'était venu en ce lieu; mais il en ressentait le besoin en ces temps si sombres et de grande solitude !
Il déposa son texte, et il s'en alla comme il était venu ! Baissant la tête quand il croisait quelqu'un...
Citation: Si le poète n'est pas toujours docte ! Et que sa main se pose sur votre cuisse; C'est pour mieux, en une seule note, Que son coeur, auprès de vous, se glisse ! | |
| | | emma
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| Sujet: Re: salle de lecture Mar 4 Aoû - 9:10 | |
| - Mallorick a écrit:
- A toi
Dans la chaleur de mon âme, le paysage tangue L’horizon se déforme sous un soleil de plomb Et au crépuscule le ciel devient exsangue Sous le chant des cigales et celui des violons...
Dans la chaleur de la nuit j’entends tes murmures Couché et rêveur au frais dans mon lit Le vent du Nord me souffle tes mots couleur azur La fraîcheur du matin me surprendra endormi.
Dans la chaleur du midi à l’ombre d’un laurier-rose J’écris des vers qui me trottent dans la tête Des morceaux d’amour ou des rêves en proses J’aimerai que plus jamais ma plume ne s’arrête !
Mallorick | |
| | | emma
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| | | | emma
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| Sujet: Re: salle de lecture Mar 4 Aoû - 9:12 | |
| - Saule a écrit:
- Plutôt que de crier, de hurler sa douleur à la lune montante, il préféra prendre sa plume comme un exutoire et il vint déposer le résultat de ses écrits icelieu !
LES TROIS T.
Trinité – Tension – Thanatos
Un sourire crépusculaire Dans une nuit paisible Un ange fait de lumière Aux frontières des possibles.
Derrière ce visage anguleux Veille une ombre immortelle Courtisane et maitresse du jeu Toujours pleine est son escarcelle.
Dans ma nuit profonde Je sens juste son haleine Elle comme une louve féconde Voulant remplir sa bedaine.
Le Désir, le Désir, le Désir et la Mort…
Je caresse sa tendre chair Cherchant à tout prix la cible C’est la grandeur et la misère D’une union impossible.
Comme un enfant nerveux Je réponds à l’étincelle Vibrante de cet enjeu Et je mords ses mamelles.
Ses formes claires et rondes Adoucissent ma longue peine Elle est la bête immonde De nos pulsions elle est la Reine.
Le Désir, le Désir, le Désir et la Mort…
Elle m’agrippe de ses serres J’approche de sa zone sensible Nous nous retrouvons alors à terre Frôlant l’un l’autre et l’indicible.
Le goût d’elle est liquoreux Son corps souple se rebelle Sous mes baisers aventureux Sa voix devient alors crécelle.
Je l’explore et je la sonde Au plus profond de la Cène Pour cette ultime seconde Cette petite mort qui s’égrène.
Le Désir, le Désir, le Désir et la Mort…
Nos corps viennent de la terre Nous les petits dieux irascibles Nous nous battons comme l’on espère Enfin saisir l’inaccessible.
Je ne suis qu’un triste gueux Qui dans sa folie charnelle Fouette avec un regard douteux Le vice la vertu de la belle.
En mon sens elle abonde La femme à la faux sereine Dans le noir le ciel gronde Elle est à nouveau pleine.
La Mort, la Mort, la Mort et le Désir…
Saule de la Forêt sans Nom - 23 avril 1457
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| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| | | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mar 4 Aoû - 9:14 | |
| 5 mai 1457 - Mallorick a écrit:
Ce tout petit...
Comme un îlot au milieu de la tempête de vos sentiments Comme une lumière qui rayonne d'un éclat pur Il s'accroche et il luit vôtre petit enfant Il commence sa vie doucement, il dessine son futur….
Dans vôtre chagrin immense d'avoir tout perdu Dans la chaleur et la tristesse infinie Il habite et investi vôtre cœur fourbu Par les hommes qui en amour vous ont trahi
Vous le sentez là, vivre au creux de vous Petit être de lumière qui grandit Et vous chuchoterez à ce bout de chou Je t'aime, tu sais toi mon tout petit !
Un moment viendra où il verra le jour Il quittera à jamais la chaleur de vôtre corps douillet Alors vous le pendrez dans vos bras de velours Et doucement là, vous le bercerez…….
Mais à présent il doit un peu grandir Pour quelques temps encore en vôtre sein Et vous allez peu à peu pour lui vous épanouir Petites âmes, vous construirez ensemble son demain…. Par un beau matin d'hiver Dans les larmes d'un chagrin sans fond Vous avez appris son existence sur cette terre Et vos vies sont désormais en communion !
Cet ange, ce bébé, ce tout petit… Pour lui aujourd'hui tout prendra un sens Et comme une louve vous protègerez sa vie Maintenant et par delà de sa naissance ! | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mar 4 Aoû - 9:15 | |
| 6 mai 1457 - Mallorick a écrit:
- ELLE
Finalement IL l’a trouvé C'ELLE qu'IL avait tant attendu Finalement ELLE existait Mais que de chemins parcourus !
Il en aura fallu du temps, Des regrets et des illusions perdues Pour qu'ELLE arrive au bon moment A l’instant même où IL n’y croyait plus !
Il en aura fallu des larmes Des non-dits, des propos futiles Une femme et sa trahison comme arme Le laissant meurtri, fatigué et fébrile...
Il en aura fallu des combats Pour qu’IL y croit encore Pour que jamais IL ne baisse les bras Et qu’IL leur prouve qu’ils avaient tord !
Mais finalement ELLE est arrivée CELLE qu’IL avait tant attendu Et finalement IL peut aimer Même si IL n’y croyait plus !!!!
Mallorick | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mar 4 Aoû - 9:15 | |
| 9 mai 1457 - Saphirella a écrit:
- Pour toi....
Tant de jours passés à ne plus croire Ne plus avoir d’espoir Jusqu’à ce jour si doux Où nous avons ouvert les yeux sur nous
En quelques instants, tu as illuminé ma vie Alors que mes jours ressemblaient à des nuits Un regard, un sourire, un mot de toi Et mon cœur est en émoi
Je veux t’aimer, te chérir De baisers et caresses te couvrir J’ai trouvé l’Amour Et désire le garder pour toujours
Prends soin de mon coeur Gage de notre bonheur C’est désormais au creux de nos mains Que se niche notre destin
Saphirella
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| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mar 4 Aoû - 9:18 | |
| 10 mai 2009 - L0tus a écrit:
- Lotus avait tellement besoin d'écrire elle prit sa plume et laissa son coeur ecrire a sa place
Je ne demande qu'un répit
Pourquoi vivre une vie, qui n'en vaux pas le prix. Chaque fois que les nuages disparaissent, c'est l'occasion pour que des nouveaux apparaissent.
Il y avait quelque chose, pour moi comme une rose, qui a donné un sens a ma vie, mais celui s'est si vite enfui.
Si je pouvais être heureuse, qu'une minute ou peut être deux. Ça me ferait un peu sortir de tout ce qui essaye de me détruire.
Si la vie me le permettait, je ferai tout pour vivre un amour parfait. Mais cette vie n'est qu'une illusions, que tout le monde, au fond, de soi garde avec passion. | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mar 4 Aoû - 9:19 | |
| 25 mai 1457 - Jean_de_vel a écrit:
- Pour Gene, Ma Terre, Ma Promise
Mon esquif s'est échoué au rivage de ta peau Naufragé volontaire sur une île oubliée J'ai foulé ce pays sur la pointe du coeur Mon regard s'est ouvert sur des vallées nacrées J'ai touché de mes mains, terre de douceur Je me suis enivré des parfums les plus hauts
Dans son coeur de verdure, j'ai découvert l'Eden Des torrents de douceur nés de sources de miel Des forêts de tendresse aux arbres majestueux Des oiseaux de légende aux couleurs arc-en-ciel Fruits gorgés de soleil aux nectars capiteux Au milieu de l'atoll, le palais d'une Reine.
Tout en haut du volcan, un coeur ne battait plus Je l'ai pris contre moi pour le gonfler d'amour Je l'ai serré si fort qu'il est entré en moi Il s'est fondu au mien et revit au grand jour Je vivrai pour toujours dans ce pays de rois J'ai fini mon voyage, je ne partirai plus | |
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