Village de Nevers Nevers, petit village en bord de Loire. |
Amies et amis défenseurs, pensez à passer chaque jour vérifier si vous êtes de garde ! La sécurité de notre ville en dépend. Merci ! |
| | salle de lecture | |
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Auteur | Message |
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emma
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| Sujet: Re: salle de lecture Mar 4 Aoû - 9:19 | |
| 25 mai 1457 - Philomen50 a écrit:
- Ma mystérieuse inconnue.
Ma mystérieuse inconnue, Lorsque je te contemple, tant de douces choses, S'exhalent comme l'essence du souffle de milles roses.
Si seulement moi aussi, Je pouvais donner de l'amour à quelqu'un, Toutes mes attentions et mon désir, Sans conditions.
Un regard tu te marres et repars, Tu reviens, Fais des va-et-vient, En laissant tes amis.
Depuis ce jour là, Mon coeur ne t'a jamais oublié, Et toi seul lui fait cet effet. | |
| | | emma
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| Sujet: Re: salle de lecture Mar 4 Aoû - 9:20 | |
| 26 mai 1457 - --Mamzelle_Nitouche a écrit:
- Elle quitta le poste de guet le sourire aux lèvres, le garde est bien joli homme pensa-t-elle.
Elle avança dans les rues à l'aveugle se demandant si sa soeurette un jour apparaitrait, puis vit une porte s'ouvrir, un homme beau sortir, elle sourit, le regarde disparaitre, persuadée déjà qu'il est sous son charme elle soupire et entre. Les tableaux sur les murs, une odeur d'encre fraiche elle s'approcha.
- Citation :
- Ma mystérieuse inconnue.
Ma mystérieuse inconnue, Lorsque je te contemple, tant de douces choses, S'exhalent comme l'essence du souffle de milles roses.
Elle rougit, porte ses mains à ses deux joues, puis touche le parchemin du bout des doigts, elle regarde par la fenêtre puis lit :
- Pour sur ce texte est pour moi, le coquin m'a déjà écrit !!! Il se languit de me revoir ! Nous sommes nous déjà rencontrés ?
- Citation :
- Depuis ce jour là,
Mon coeur ne t'a jamais oublié, Et toi seul lui fait cet effet. - Ha bah tiens vi, puisqu'il le dit là !!!
Elle pointe son doigt sur le papier et tapote plusieurs fois, comme si elle voulait que quelqu'un d'autre le voit.
- Faut que je lui réponde !
Elle trottine jusqu'au plan de travail, s'installe, prends plume, encre et parchemin et écrit :
Mon bel inconnu !
Je te reconnais ! Moi aussi je me languis de toi ! Mon coeur a battu quand je t'ai croisé dans la rue ! Même si je t'avais pas reconnu ! L'amour m'envahit déjà Et me mets toute en émoi ! Milles baisers inconnu
Signé : Celle qui fait vibrer ton coeur !
Elle se relit, corrige ses fautes et pose son parchemin sur celui de son inconnu.
- A peine arrivée et déjà fiancée ! Comme Nevers me plait !
Elle sort et met sa main en visière pour s'abriter du soleil.
- Mais où diable est ma soeur, je dois lui raconter que j'ai un galant !
Elle repart en direction du marché. | |
| | | emma
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| Sujet: Re: salle de lecture Mar 4 Aoû - 9:22 | |
| 1er juin 1457 - Mallorick a écrit:
- J'AI GOUTE
J'ai goûté à des plaisirs Que je ne connaissais pas A ta voix, tes mots, ton sourire Et tout ce que j'ignorais de toi J'ai embrassé tes lèvres et dans mon souvenir J'en ai gardé le goût d'un parfum délicat…….
J'ai embrasé tes sens D' un feu qui ne l'on éteint pas Mettant à mal ta défense Contre un homme qui te met aux abois Avec ce calme et cette impudence Qui n'appartient qu'à moi !
J'ai piétiné ton coeur Si fragile et délicat Faisant fi de tes peurs A devenir l'esclave toutefois D'un Mallorick sans pudeur Qui voudrait tout ravir de toi…….
J'ai joué avec les mots Pour mieux te faire frémir Te rendant douce comme un agneau Pour combler tous mes désirs Et je rêve de plonger dans les fonds abyssaux De ton corps; Et de ne plus en sortir !
Mallorick | |
| | | emma
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| | | | emma
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| Sujet: Re: salle de lecture Mar 4 Aoû - 9:24 | |
| 6 juillet 1457 - Faguiang a écrit:
- Lettre ouverte:
- Citation :
- Un jour une rencontre m'a bouleversé
Un homme que j' ai rencontré
De femmes ont voulu me l' enlever Mais leurs pièges ont trépassé
A toutes ces garces un jour vous payerez Car l' histoire en est marquée
Des obstacles nous avons rencontrés Mais notre amour a triomphé
Un jour tu ma demandé Oui j' ai déclaré
Un jour je t'ai demandé Oui tu as déclaré
Un jour nous serons marié et ceux pour l' éternité
Mon amour est illimité envers mon être aimé! Je ne puis subsistée si tu n' es pas à mes côtés
Fagui pour son être aimé! | |
| | | emma
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| Sujet: Re: salle de lecture Mar 4 Aoû - 9:27 | |
| 19 juillet 1457 - Jovalpeye a écrit:
- Vient dans mes bras oublier tout tes tracas
Oublions notre passé, par l'amour laissons nous bercer Dans ton regard de velour je ne vois que le reflet de l'amour Partir dans un tourbillon de bonheur à en perdre la raison Rire chanter crier chaque instant profiter de toi de moi de nous Chaque jours grandis mon amour qui n'a pas de limite Construisons un avenir doux dans notre ecrin de velour
je t'aime 20 juillet 1457 - Andria_ a écrit:
- Andria arriva et eu envie d'écrire,elle prit une plume et se mit à écrire:
La Rose et le Prince
Un jour un prince voulait une rose blanche,
Il allât dans le jardin d'éden pour demander à Adam,
Et y trouva une planche,
Pleine de fleurs et de dons,
Le prince s'y jeta et alors,
Êve surgit,très fâchée elle lui dit,
Qu'il fallait d'abord,
Que l'amour soit dit,
Ne comprenant rien le prince hébété,
Ne baissa pas les bras,
Il ne fit que répète,
Ce qu'Êve lui dit supra,
Puis il compris qu'il fallait du temps,
Pour qu'une rose soit conquise,
Et qu'il fallait entre temps,
Mettre cette rose sous son emprise,
Par des charmes , des douceurs,
Par des mots qui caressent,
Avec tendresse et joie,
Le coeur de la belle rose à la blancheur,
Et au teint d'un diamant d'amour,
Au sourire plein de mystères,
Au regard de velours,
Au courage d'un père,
Le prince fit tout cela et parvint,
A cueillir la belle rose qu'il emmena au château,
Et à qui il donna de l'amour comme du bon vin,
Des baisers comme de délicieux gâteau.
Andria sourit et posa sa plume!! | |
| | | emma
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| Sujet: Re: salle de lecture Sam 5 Déc - 12:43 | |
| - Yumika* a écrit:
- [rp]Arpentant les ruelles, Yumi passa devant le musée des arts. Bien longtemps qu'elle n'y avait vue quelqu'un y déposer des oeuvres. Elle poussa les majestueuses portes qui confinaient les magnifiques créations des habitants de Nevers et retourna admirer ces dernières. Tout en relisant certains poèmes, un souvenir de voyage lui traversa l'esprit.
Une des villes visitées avait comme activité sur la place publique, un jeu joué et alimenté par les villageois. Dans ses souvenirs, cette activité fonctionnait bien et elle décida de tenter la chance pour raviver la motivation de partager ces admirables oeuvres. Par chance, elle aperçu sur l'une des tables, un encrier ainsi qu'un parchemin. Une plume reposait sur ce dernier, ce qui motiva de plus en plus Yumi dans son idée. S'asseyant près de cette table, elle coiffa rapidement ses cheveux vers le haut, de sorte à ce qu'ils ne lui retombent pas sur le visage pendant qu'elle écrit. Elle encra la pointe de la plume, rapprocha vers elle le parchemin vierge, et y rédigea les explications.
- Sur ce parchemin, Yumi a écrit:
- Chers lecteurs,
Je vous propose ici même, une charmante petite activité qui va sûrement vous occasionner la prise de votre plume afin de coucher quelques vers sur ce parchemin. Je vous explique... Je débute en vous donnant quatre mots qu'il vous faut placer dans quelques vers. La personne laissant son oeuvre accomplie sur ce manuscrit, laisse à son tour, quatre mots pour le prochain défi.
Voici un exemple:
Les quatre mots sont: beau, pourquoi, cadeau, toi
Un jour, la vie t'offre un merveilleux cadeau, De ce jour, tout devient plus beau. Par malheur, il n'était pas pour toi, Restera sans réponse, ta question "Pourquoi ?".
Voyons ce que vous pouvez faire avec les mots suivants: bateau, chapeau, soleil, corneille Impatiente de savoir si ce petit jeu allait plaire, Yumi déposa le parchemin sur la table, bien à la vue des visiteurs et reparti chez elle, prenant soin de refermer les portes derrière elle.[/rp] - Amalya27 a écrit:
- Dans le port, le vent fait danser les bateaux
Un peu plus fort, il me vole mon chapeau
pousse les nuages et voila le soleil
dans le ciel passe une corneille .
les mots suivants / fleurs / bonheur / passion / amour le jeu ,laissé sur la halle. - Xeresiv a écrit:
- Xeresiv se dit que la poésie est le reflet de l’âme.
Qu’au travers elle, on laisse parler nos émotions, qu’elles soient tristesse ou joie ou mélancolie. Que les mots ne transcrivent pas la même signification pour chacun d’entre nous et qu’il faut les prendre comme ils viennent, sans y voir de messages cachés.
Elle reprend à son tour les mots laissés derrière elle,
Après avoir laissé quatre mots, quel ne fut pas mon Etonnement De voir qu’ils suscitaient tant d’Incompréhension. Comment imaginer qu’ils créeraient un tel Bouleversement Les mots servent à la poésie tout comme à la Communication
Elles s’exercent ensuite avec les mots laissés par Yumi, pour les rendrent beaux et joyeux.
Nous avons tellement rient, que de bonheur j’en Pleure. Fatiguée j’étais, avec ses rires j’en ai perdu ma Blancheur, Et de cette belle soirée, me voilà repartit pleine d’Espoir De tous vous retrouver sans faire un nœud à mon Mouchoir.
Elle se dit qu’il serait de bon ton de faire rimer les mots et d’en garder l’ordonnancement de celui qui les a laissé, afin de les mettre dans quatre lignes pour le plaisir de poétiser.
Elle prie à son tour les mots laissés pour le suivant,
Et que maintenant nous laissions parler la Musique Dansons, chantons comme des enfants Terribles Faisons farandole et prenons-nous par le Bras Laissons la joie nous transporter et nous Animer
Elle se sentie tout à coup animée elle aussi Et ses quatre mots ne seraient pas confusion cette fois-ci,
Boit - Taverne - Joie - Pleine
La Poésie : https://www.youtube.com/watch?v=t1QCVdRvi-g | |
| | | emma
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| Sujet: Re: salle de lecture Sam 5 Déc - 12:49 | |
| - Citation :
- Jovalpeye a écrit:
Jo avait en ce moment un besoin de laisser ses mots sur le velin tien la voila accroché à lui c'est malin, petite lavandiere s'arretant à Nevers, prise d'amour pour un messire qui lui avait chuchoté des mots doux comme le velour, elle s'était pourtant juré par l'amour de ne plus se faire avoir, mais allez savoir ce jour la pres du lavoir, son coeur sans espoir avait pris le dessus sur le desespoir, ma foi que la vie peut être surprenante, Aristote laisse sur nos routes des moments de bonheur.
[rp]Je me suis arrêté ici pendant un voyage Mais quand tes yeux on croisé les miens ils criaient à l'abordage Chaque jours j'ai plongé dans une douce rêverie Mon coeur tapait fort comme au loin une Cavalerie
Mais tien il n'y a plus de nuage Une guerre de sensation dans mon coeur fait ravage Quel joli detournement de ma vie Maintenant tu en fait partie
Toi tu fais parti aujourd'hui de mon paysage Chaque matin je regarde ton visage Notre amour n'est pas une rêverie Mais il est vrai et chanboule comme au galop une cavalerie [/rp]
Jo posa sa plume satisfaite de ses mots, dans son elan d'amour elle ne pouvait que laisser des mots de passion, elle posa les mots suivants derriere elle.
Soleil, pareil, saison, passion [quote="Swultane"] Swultane se promenait dans Nevers pour visiter cette charmante ville quand elle découvrit la Maison des Arts. Mais c'est comme notre Grange à Moulins ! S'il y avait un endroit qui lui manquait c'était bien la Grange et ses poètes.
Elle prit connaissance des divers poèmes déposés ça et là et ne pût s'empêcher d'en faire autant. Elle chercha les quatre mots mais ne les trouva pas.Dame Amalya devait être bien absorbée dans ses pensées, car elle est partie sans laisser ses mots.Faute de mots, Swultane laissa son esprit chercher les mots et c’est tout naturellement qu’elle pensa au créateur de la Grange.Merci Frangor, sans vous la Grange n'existerait pas Vous nous y avez aidé à faire nos premier pas De quatre mots nous nous essayons aux quatrains Grâce à vous, nous y prenons un plaisir certain. - Jovalpeye a écrit:
- C'est en passant que Jo décida de poser quelques mots sur un velin,inspiré en cette soirée d'automne ou chaque arbres prend une couleur soleil, ou les feuilles perde la brillance de l'été passé, cette belle nature ou artiste et peintre aiment poser mots sur parchemin et pinceaux sur toiles.
Et depuis quelques mois sa vie était aussi belle que la nature pouvait l'être, nul doute que cet état dont elle était prise venait de l'amour porté par celui qu'elle aimait son Leo, alors pour le remercier de rendre sa vie aussi douce que le miel elle déposa pour lui ces doux mots.
[rp]A toi avec qui je veux unir ma vie
mon amour
juste dire je t'aime ne me suffit pas te le prouver chaque jours t'envahir d'amour ils étaient dur nos premiers pas Mais aujourd'huis je suis dans un cocon de velour
Dans tes bras je me sent comme une déesse de ton souffle sur mes levres reste une empreinte de caresse Un artiste ne saurais donné à sa toile tant de beauté Toi juste avec tes mots tes caresses tu fait de moi une merveille
Alors aujourd'hui juste avant cette date qui unira ma vie à toi Je te dis OUI à toi je veux être unis Etre toujours la pour toi je t'ai promis Tout ces mots juste pour te dire Je t'aime Mais ca tu le sais déjà
je t'aime [/rp] | |
| | | emma
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| Sujet: Re: salle de lecture Sam 5 Déc - 12:50 | |
| - Emmaline a écrit:
- Tres joli poeme Jo .
je venais justement en mettre un que j'ai trouvé tres joli aussi .Il n'est as e moi mais je l'ai entendu par un menestrel ce matin au marché,il s'appelait Marco.
c'est pour toi jo et pour ton cousin , et pour tous ceux qui aiment la poesie la nature et l'etre humain. ecoute:
Emma toussota pour s'eclaicir la voix,puis commença:
Un monde en couleurs
Viens dans mon nuage, laisse-moi t'emmener, T'offrir en partage mes rêves cachés. Je ne sais pas pourquoi ni comment, Il m'arrive de voir la vie autrement... Il suffit parfois de si peu Pour que je m'envole vers d'autres lieux, Pour que mon esprit vagabonde Comme s'il voulait refaire le monde. Si la terre était un tableau, Je prendrais mes plus beaux pinceaux Et les tremperais dans mon cœur Pour y redonner des couleurs, Je couvrirais le gris de la maladie Par l'éclatant blanc de la vie Et je remplacerais le noir Par le vert, couleur de l'espoir Bien sûr, j'en laisserais un peu Pour les nuits des amoureux Quant au rouge, j'en mettrais partout Car les enfants l'aiment beaucoup J'en peindrais le nez des gens pour qu'ils soient moins sérieux Et à tous, je mettrais de l'or au fond des yeux Bien sûr, tout cela sort de mon imagination Mais dans notre cœur, on a tous des pinceaux et des crayons Pour colorer notre univers Il suffit de si peu pour le faire Et d'ailleurs, si je t'ai fait l'imaginer C'est que j'y suis un peu arrivé.
marco - Jovalpeye a écrit:
- Merci beaucoup Emma il est trés beau cela me touche beaucoup, je prend donc ma plume à mon tour pour déposer sur un doux velin ces mots remplis d'amour pour tout les amoureux de Nevers que biensur mon inspiration vient de Leo qui d'autre pourrait me donner l'inspiration de mots d'amour, juste lui le peut.
Un jour, un mois des années défilant D’un amour passant qui dur longtemps Premier jours fougueux de passion brûlante Lendemain timide regard et joues rosit Souvenir d’enlacement passionnel Jours après jours baiser amoureux remplis de cette fougue Passé les mois ou distance fragile laisse s’écarter le cœur Retour à la passion des bras confortables Chemins tracés de complicité Confiance donné à l’être aimé Pensées de frissons Amour fidèle remplissant le cœur N’avoir aucun doute Laissons nos pas prendre cette route Faite d’amour et de complicité - Jovalpeye a écrit:
- [rp]Ce souffle sur ma peau qui frissone
semblait être le vent mais ce n'est juste que tes caresses Chaques mots de toi laissant un souffle doux Je me laisse bercer par ses doux chuchotis Mon coeur explose mon corps fond Aucune resistance en moi je perd pied sous ton regard J'en perd la voix des que tu es la Je tremble de passion et d'émoi Mes doigts effleurent tes levres Nos regards sont plongé d'amour je m'y perd et ne veut surtout pas être sauvé Me perdre dans tes bras y fondre Perdre la raison oui je le veux Etre la tout pres à répondre à tes baisers Baiser de feu enflamés Caresse douce comme le velour Ta prise de pouvoir sur moi Je l'accepte comme la mane de dieu [/rp] | |
| | | emma
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| Sujet: Re: salle de lecture Sam 5 Déc - 12:58 | |
| [quote="Lacienda"] C'est en sortant de taverne, que Lacienda décida d'aller poster un poème, ses amis de passage lui avait conseillé la maison des arts...Une fois à l'intérieur du bâtiment, elle sourit impressionnée par toutes ses œuvres d’art, se sentant immensément petite, elle marchait doucement, regardant avec admiration les créations diverses et variées, elle arriva enfin à une sorte de grimoire, l’ouvrit et se mit à lire avec gourmandises les écrits de tous, laissant cet arc –en ciel de ressenti envahir son esprit … une fois sa lecture terminée , souriante, très émue par ces témoignages, elle décida d’y laisser le sien également. Elle prit une plume et se mit à écrire d’une écriture fine et soignée un poème. Ce poème, elle le dédiait à un goujat très chevaleresque, véritable force de la nature mais possédant une âme sensible et généreuse et surtout un esprit subtil…L’UN CONNUSombre est la pénombre, lumineux est son sourire, Il est derrière moi, me frôle à peine, mon sang bout dans mes veines… Il est là debout dans mon dos, je sens sur moi son souffle chaud, Je respire par saccades et mon cœur fait boum !boum ! C’est la cavalcade de frissons, ma poitrine bat la chamade, Quand sa main large et carré vient me caresser, C’est les yeux fermés, que je préfère le mieux l’imaginer… Sa voix résonne dans ma tête comme une tempête, Elle balaye toutes velléités, toute volonté Son baiser ardent sur ma nuque laisse place à un déploiement de feux d’artifices Chaque fibre, chaque centimètre de peau est embrasé, brulé… L’envie et le désir affolés envahissent tous interstices Son corps tout contre le mien me transforme en volcan ; Sa faim est devenue mienne, j’ouvre la porte à mon geôlier. Par la fenêtre, il jette la clé, prend possession de son bien. Et toujours sans même me retourner, je me laisse avec plaisir dévorer…Une fois les mots déposés, et la gravure collée, elle souffla sur l’encre violine, satisfaite , elle voulut fermer le livre, hésitante quelques secondes, puis finalement le laissa ouvert …
Elle pensa : « On ne sait jamais, des fois que l’envie lui prend de venir par là… Un goujat, ça sait lire ?» Sans un regard en arrière , elle partit rejoindre son groupe , le cœur léger et le pas dansant … - Jovalpeye a écrit:
- peye"][color=darkblue]Ce jour c'est comme si le vent avait tout emporté
Mon coeur c'est noirci comme un bout de bois aux flammes Mes yeux se sont remplis d'eau pour couler comme une rivière Je n'ai pu retenir tout ses flots envahissant mes joues
En fermant les yeux je revois ces instants merveilleux En les ouvrant tu n'es plus la je n'ai plus tes bras Ma peine est grande mais je sais que la tienne est à la même mesure mon plus grand souhait serait qu'enfin tu sois heureux
Je n'ai pu te rendre se sourire que tu as perdu Je n'ai pu que t'aimer - Jovalpeye a écrit:
- Jo était d'humeur poetique en ce moment alors elle déposa quelques mots sur le velin, sa plume glissa toute seule, elle aimait les mots d'amour et de tendresse, Jo était guerris de sa rupture elle comprenait Leo ne lui en voulait pas, c'était mieux ainsi.....
[rp]J'attendrais ce doux moment de frissons De ce doux velour envahissant mon coeur Douce lèvres laissant impression de pas assé Comme la naissance d'une fleurs au printemps tu m'as donné tes rayons de soleil
Chaque jour je renforcerais mon amour pour toi Chaque jours j'enverrais mon faucon aux porte de la ville Chaque nuit dans mes rêves je serais dans tes bras Chaque matin je scruterais l'horizon
Je t'attend pour t'ouvrir à mes multiples passion Mon coeur est déjà bien remplis par toi que dis je plein de toi.. Mon coeur est remplis de couleurs Je t'envois la clef pour que tu puisse y venir seule toi pourras ouvrir la porte et la refermer
Si cette nuit tu vois une étoile briller plus que les autres ce n'est juste que moi qui guette ta venue. Si tu as l'impression qu'un brise effleure tes lèvres ce n'est juste que moi qui m'imagine les embrasser.. Si tu as l'impression dans la nuit d'être caresser ce n'est que moi dans mes rêves qui me blottis contre toi...
[/rp] - Jovalpeye a écrit:
- Jo était d'humeur poetique en ce moment alors elle déposa quelques mots sur le velin, sa plume glissa toute seule, elle aimait les mots d'amour et de tendresse, Jo était guerris de sa rupture elle comprenait Leo ne lui en voulait pas, c'était mieux ainsi.....
[rp]J'attendrais ce doux moment de frissons De ce doux velour envahissant mon coeur Douce lèvres laissant impression de pas assé Comme la naissance d'une fleurs au printemps tu m'as donné tes rayons de soleil
Chaque jour je renforcerais mon amour pour toi Chaque jours j'enverrais mon faucon aux porte de la ville Chaque nuit dans mes rêves je serais dans tes bras Chaque matin je scruterais l'horizon
Je t'attend pour t'ouvrir à mes multiples passion Mon coeur est déjà bien remplis par toi que dis je plein de toi.. Mon coeur est remplis de couleurs Je t'envois la clef pour que tu puisse y venir seule toi pourras ouvrir la porte et la refermer
Si cette nuit tu vois une étoile briller plus que les autres ce n'est juste que moi qui guette ta venue. Si tu as l'impression qu'un brise effleure tes lèvres ce n'est juste que moi qui m'imagine les embrasser.. Si tu as l'impression dans la nuit d'être caresser ce n'est que moi dans mes rêves qui me blottis contre toi...
[/rp] - Jovalpeye a écrit:
[rp]mon coeur en détresse il est plein de tristesse oh que cela me blesse je vie de tant de promesses j'esperer te voir dans mes yeux vert j'ai plus de noir mon coeur est plein d'espoir je cherche ta lumière j'espère y voir plus claire je ne suis pas la première j'espere juste être la dernière Sache que je t'aime plus que tout quand vient la nuit je n'entent plus de bruit juste ton souffle que je suis je m'endors dans cette douce nuit Je vois ton image J'embrasse tendrement ce mirage J'espere tant ce passage J'effleure tes douces lèvre Je m'enfonce dans se doux rèvre Mon corps au reveil en est remplis de fièvre J'attend ce doux moment Pour enfin vivre cet amour passionement [/rp] | |
| | | emma
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| Sujet: Re: salle de lecture Sam 5 Déc - 13:06 | |
| - Loulilidy a écrit:
- Jo m'a guidée jusqu'ici ...Elle m'a dit de venir voir et c'est tellement beau ...j'en ai eu les larmes aux yeux .
Je me sens seule ...et l'envie d'écrire me taraude ...allez je me lance ( ne vous moquez pas ...)
Pour toi Lyo ...
Dors paisiblement ... L'amour vers toi s'envole , C'est mon coeur aimant Qui te rejoint et caracole ;
Mon rêve, l'espace d'un instant... Aussi doux que ton sommeil, Vers toi arrive à temps Et s'arrête et t'éveille ...
Mon coeur ne fait que chanter, Cette nuit et les prochaines, Puisque près de toi je serais... Chaque nuit blottie , sereine .
Ton ange ... [i]Loullilidy avait accroché un joli poeme d'adieu pour lyo. l'heure etait encore à la tristesse . Emmaline voulait rendre hommage a son fillot jean et a son suzerain qui venaient de la quitter . [b]Pour Vous cher Suzerain Gaborn, pour toi Jean ,reposez en paix: LE DERNIER ADIEU
Quand l' être cher vient d' expirer, On sent obscurément la perte, On ne peut pas encor pleurer : La mort présente déconcerte ;
Et ni le lugubre drap noir, Ni le dies irae farouche, Ne donnent forme au désespoir : La stupeur clôt l' âme et la bouche.
Incrédule à son propre deuil, On regarde au fond de la tombe, Sans rien comprendre à ce cercueil Sonnant sous la terre qui tombe.
C' est aux premiers regards portés, En famille, autour de la table, Sur les sièges plus écartés, Que se fait l' adieu véritable
(sully prud'homme) - Citation :
- Lou était repassée lire son poème pour Lyo ...
" Non , non dame Emmaline Lyo et moi ne nous quittons pas ...Au contraire ... J'étais juste triste de ses absences répétées..." Lou devait faire savoir à tous que leur amour était toujours à son zénith ... Elle allait le clamer haut et fort ... " JE L'AIME " - Loulilidy a écrit:
- Loulilidy a écrit:
- Jo m'a guidée jusqu'ici ...Elle m'a dit de venir voir et c'est tellement beau ...j'en ai eu les larmes aux yeux .
Je me sens seule ...et l'envie d'écrire me taraude ...allez je me lance
Pour toi Lyo ...
Dors paisiblement ... L'amour vers toi s'envole , C'est mon coeur aimant Qui te rejoint et caracole ;
Mon rêve, l'espace d'un instant... Aussi doux que ton sommeil, Vers toi arrive à temps Et s'arrête et t'éveille ...
Mon coeur ne fait que chanter, Cette nuit et les prochaines, Puisque près de toi je serais... Chaque nuit blottie , sereine .
Ton ange ... - Jovalpeye a écrit:
- [rp][i][b]
Prendre ta main Aller au dela des chemins Jamais sans crainte
Comme un artiste j'effleure de caresse Ses douces lèvres Qui me donne tant d'ivresse
Cette première nuit sous le clair de lune J'ai dit oui à toute cette tendresse Il y avait deux il n'est plus qu'un
De ces coeur assemblé par amour Dans ce doux écrin de velour Nul doute que depuis je t'aime
Je laisse derrière ce lourd passé Qui mainte fois m'a tracassé Grace à toi mon coeur n'est plus éparpillé
Hier soir tu m'as demandé Je te répond oui un oui sincère qu'il en soit ainsi selon ton souhait
Car pour moi ton bonheur restera mon labeur Chaques jours je m'épuiserais à te rendre cet amour Tu me donne tant d'amour
Il pourrait prendre la route Ce que tu aimerais sans le dire Ton message est bien passé
Alors je te donnerais ce précieux lien Il sera tien il sera mien Il sera notre mais Je sais que nous ne sommes point préssé Mais si tu me le demandais Alors je le ferais sans hésiter
Je t'aime Ta douce Jo[/rp] quote="Jovalpeye"][rp] L'arrivée
J'ai marché en te serrant la main chaque buissons devenait suspect Mais petit à petit ma peur est parti
Chaque ville nous rapproché Chaque jour prés de toi Et puis je t'ai retrouvé
Je t'ai pris la main et nous nous sommes aimé Depuis nous ne pouvons plus nous quitter Les derniers mètre de cette route ta main j'ai serré
Je ne veux surtout pas te perdre Nous sommes si pres de Nevers Enfin devant ses portes nous sommes arrivé
Nos regards complice se sont croisés Tu sais et Je sais que c'est la que nous nous sommes rencontré Enfin cette odeur tant esperé
Maintenant il n'y a plus que bonheur Maintenant je n'ai plus de douleur Aujourd'hui commence un vrai bonheur
C'est enfin une vie pour toi et moi pleine de couleur
Je t'aime[/rp][/quote] | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Sam 5 Déc - 13:07 | |
| - Loulilidy a écrit:
- Tu te reconnaitras...
Oui tu te reconnaitras , je sais que tu viendras Et tous mes écrits liras , Oui ...Je sais celà .
Et c'est pour toi ... Seulement pour toi . Que j'écris ceci ... A la lueur de ma bougie .
Oui je t'aime ... Je croyais ... Mais t'oublier ... Non jamais !
Je suis heureuse d'avoir appris Que je ne suis pas seule à aimer Et je ris ...mais je pleure aussi... Tu pars ...Je voudrais dans tes bras me lover ...
- Lenada a écrit:
- [rp]Chercher toujours d’autres mots
Pour exprimer le même sentiment
Pour le rendre encore plus beau
Comme s’il était toujours différent
Avoir la tête dans les nuages
Et regarder toujours plus loin
En oubliant d’être trop sage
De rester murer dans son coin
Les yeux brûlés par tous les rêves
Construit sur des promesses oubliées
Le cœur remplis de larmes amères
Les mots du poète doivent pleurer
Ces larmes perdues dans les nuages
Se déposent le matin en rosée
Comme les trésors d’un autre âge
Que nous ne savons plus regarder
Fleurs de rois ou fleurs des champs
Prennent en leurs calices ces étoiles
Pour les offrir aux tendres amants
Surpris du matin qui se dévoile
Venez, amoureux de toutes âges
Faire vos vœux de grande fidélité
Aux larmes d’un poète trop sage
Que l’amour sincère a oublié
Dansez, chantez, foulez de nos pieds
La tristesse de cet amour sans fin
Déjà les rayons du soleil de l’été
L’assèchent de ses tendres câlins.
[/rp] | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mar 6 Avr - 9:44 | |
| ecrit le 5 decembre sur la halle de nevers - Jovalpeye a écrit:
- [rp]
Mais non tu n'es point un mirage
Comme une douce plume j'effleure ton visage Tes mains sur moi on fait que je suis moins sage
Les saisons passent sans nuage Mais jamais je me lasse
Ho! Nan tu n’es pas un mirage Nos corps ont laissés empreintes sur le sable
Moi qui croyais juste un passage Aujourd’hui de notre amour je pourrais écrire des pages
Je ne vois aucun nuage Ma plume inspiré glisse sur la page
Grace à toi mes rêves sont pleins de jolie images Tu as ouvert ma cage
Ton amour m’a fauché au passage Je rêve de cette nuit sur la plage
Pour toi je reste sage
Te Quiero[/rp][/rp] - Frim2811 a écrit:
- [hrp] Déplacé avec l'accord de l'auteur[/hrp]
[rp]Une rencontre après des mois d'éloignement Ton visage, ton sourire pour m'accueillir Dans tes yeux danse une flamme joyeusement Et tes lèvres qui s'entrouvrent commencent à rougir.
Nous sommes seuls en tête à tête Comme autrefois à Macon, je m'en souviens. Et nous parlons , l'âme en fête, Heureux d'être réunis, je caresse ta main...
Tu sais me comprendre et m'écouter On parle de notre vie , de tout et de rien. Je te regarde et tu arrives à m'enflammer Je puis te dire que près de toi je suis bien.
Alors tu m'embrasses avec passion Tu réveilles mes sens et attise mon désir Tu es attirante et tu me donnes la leçon Nos baisers érotiques nous amènent au plaisir.
Nos corps s'enchevêtrent nus et brulants Tu t'offres à moi et je me livre bien volontiers Je te donne mon envie avec des gestes puissants Et nous gémissons au rythme de gestes effrénés.
Tu sais m'entrainer dans ce tourbillon délicieux Je me laisse emporter dans ce torrent déchainé La cascade de nos mouvements tumultueux Se déverse sur nous en mille feux endiablés...
La nuit se passera dans la paille tout contre toi Je t'enroule contre mon corps dans mon mantel Je t'embrasse, je ne veux pas que tu aies froid Dormons et profitons, la nuit est si belle...
F erons nous encore l'amour ? R ares mais trop bons sont ces instants I l reviendra bien ce jour M ême si ce n'est point avant le printemps...
Alexandre.[/rp] - Jovalpeye a écrit:
- [rp]
Il n'y a pas plus belle merveille que ton regard Tu rechauffe mon coeur comme un rayon de soleil rechaufferait mon corp aprés le froid...
Je ne regrette pas, ho! non surtout pas d'avoir croisé ta route, Tu m'as mise de suite en déroute.. Toublant,attachant nous confiant doux secret..
Je te donnerais mon souffle si tu manquais d'air je te protegerais de mes bras si tu aurais froid Je serais tes yeux si tu n'y verais plus
Tu es ma douceur au goût de miel Tu es ma douce passion qui me fait perdre la raison Tu es mon souffle de vie
Alors oui j'ai mauvais caractère, je ne suis pas facile, mais toi tu as réussit à dompter la rage qui était en moi, tu m'as rendu plus douce, plus tendre . Tu inspire mes mots, tu inspires ma vie[/rp] | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mar 6 Avr - 9:48 | |
| - Jovalpeye a écrit:
- Jo avait reçu de son tendre amour un jolie poeme, Arnaud avait aussi ce don de glisser sur le velin ces mots qui vous donnes tant d'émotions...
Avec l'accord de l'auteur:
Lui [rp] Mon amour où es-tu ? Car je ne te lis plus. On se croise tout au plus. J'ai besoin de toi le sais-tu ???
Mon amour, libère toi, Reviens tout contre moi. Je ne sais vivre sans toi, J'ai besoin de ta douce voix
Mon amour, oublie les heures, Ne laisse pas mon coeur. Tu es tout mon bonheur, J'ai besoin de ta chaleur.
Mon amour, viens et sans cesse, Aimons-nous avec ivresse. Berce-moi avec tendresse. J'ai besoin de tes caresses....[/rp]
Aprés avoir déposé le's mots de son aimé, Jo posa les siens pour lui répondre...
Elle [rp] Mais je suis là tout prés de toi Dans le creux de ton oreille je chuchote Au petit matin je t'observe Je glisse un je t'aime
Prés de toi oui je me libère Tout contre toi chaque nuit Tu es ma source vitale J'aime dire tout ces Je t'aime
Avec toi j'oublie tout Ton coeur est bien protégé dans le mien Ton bonheur est mon bonheur A tes bras je ne peux résister
Mon amour est sans limite Une passion de cette ivresse Te serrer contre moi Mes caresses sont tienne[/rp][/rp] | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mar 6 Avr - 9:53 | |
| le - Loulilidy a écrit:
- Tu t'es envolée...
Glisse le vent sur tes joues , Tel une plume .[/i] - Jovalpeye a écrit:
- [rp]Le silence vous berce
Il vous angoisse plonge l'esprit dans le noir
Bénefique parfois vous ronge par moment Sentiments de déroute
Lourdeur étouffante Douceur de petit matin Nuit calme et appaisante
Tu me tracasse par moment Tu m'appaise souvent Mais ce soir tu met mes nerfs à rude épreuve[/rp] le 24 decembre - Jovalpeye a écrit:
- [rp]Je ne serais pas difficile si
dans cette nuit magique si tu laissais un sac remplis de graine prés de ma cheminée
ma commande...
Une graine pour le bonheur Une graine de douceur Une graine d'Amitié Une graine de tendresse Une graine d'Amour Une graine de chance Une graine de prosperité
Alors je te promet que je serais des plus sage et je planterais..
La graine de bonheur pour donner à mes amis de mon coeur La graine de douceur pour les moments calins La graine d'Amitiè pour construire une solidarité La graine d'Amour pour que mon coeur soit moins triste La graine de tendresse pour recevoir milles caresses La graine de chance pour avoir enfin une bonne étoile La graine de prosperité pour remplir ma maison d'enfants
Je te promet d'être sage et d'avoir pour mon prochain le coeur large Et quand tu reviendra l'année prochaine je te montrerais ma sagesse tu pourra voir comme ton cadeau m'a donné une vie d'ivresse .[/rp] | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mar 6 Avr - 9:57 | |
| le 14 janvier - Tinette a écrit:
- Je me souviens jour après jour
De ces belles heures d'amour, Tu m'as appris ce qu'était la confiance Et aujourd'hui j'ai besoin de ta présence.
Malheureusement tu n'es plus là, Et ça me fait mal car je ne te vois pas. Souvent tu m'as fais rire Mais aujourd'hui il ne reste que des souvenirs.
Tous ces souvenirs ne te remplacent pas, Moi, j'aimais quand tu me prenais dans tes bras, J'aimais aussi sentir la chaleur de tes lèvres quand elles se posaient sur moi. - Penelope35 a écrit:
- La chipie gambadait dans les rues de Nevers , rêvassant comme a son habitude ! C est ainsi qu elle vis l entrée de la "maison des arts " , elle y entra , curieuse elle parcourue les pièces , et décida d y laisser quelques lignes ...
Et quand nos regrets viendront danser autour de nous nous rendre fous Seras-tu là ?
Pour nos souvenirs et nos amours Inoubliables inconsolables Seras-tu là ?
Pourras-tu suivre là ou je vais ? Sauras-tu vivre le plus mauvais ? La solitude le temps qui passe Et l'habitude regardes-les Nos ennemis dis-moi que oui Dis-moi que oui
Quand nos secrets n'auront plus cours Et quand les jours auront passé Seras-tu là?
Pour, pour nos soupirs sur le passé Que l'on voulait que l'on rêvait Seras-tu là? Le plus mauvais La solitude le temps qui passe Et l'habitude reqardes-les Nos ennemis dis-moi que oui Dis-moi que oui? Là ??? Seras-tu là ? Seras-tu là ???
[hrp]paroles de Michel Berger [/hrp] - Tinette a écrit:
- je t'ai aimé mais tu n'est plus
je t'ai promis fidélité mais tu n'est plus la vie est trop dure sans amour pardonne ma faiblesse si je succombe je t'ai aimé mais tu n'ai plus je ne peux suporter une vie sans douceur sans calin sans l'ivresse d'une bouche qui vous enlace | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mar 6 Avr - 10:47 | |
| - Jovalpeye a écrit:
- Aprés avoir passé la pire des nuit de sa vie Jo entra dans la maison des arts et déposa son parchemin, ca faisait de bien de pouvoir mettre sur le velin les mots qui étaient dans son coeur...
[rp]Il fait noir loin de toi Mon coeur à froid sans toi
Ce n'est des frisson de passion mais des frisson sans horizons
Et pourtant mon coeur s'enflamme Mon corps se desarme
Ce besoin vital de toi T'aimer juste toi
Je t'offre pour toujours mon sourire Je t'offre pour toujours mon amour
Je t'aime[/rp] - Emmaline a écrit:
- Emmaline allait fermer laporte a clé a double tour,comme ça y aurait pas d'inspection ,y en a sacrement marre là.
pas etonnant que les halles deviennent de plus en plus vides partout dans le royaume. malgré tout emma allait accrocher un joli poeme esperant qu'il plairait aux nivernais . Elle ecrivit de sa plus belle ecriture ,souffla pour faire sécher plus vite puis le mis sur le mur:
l'amitié
Une amitié est comme une fleur. Elle naît et s'épanouie en douceur. Elle peut durer une vie, pour toujours. Où s'arrêter et se faner, en un jour.
Une amitié c'est donner, beaucoup de soi. Ne jamais rien demander, en retour. C'est être toujours présent, toujours là. Le faire avec plaisir, beaucoup d'amour.
Une amitié est une qualité, qui se fait rare. Qu'il ne faut jamais ranger, au fond d'un placard. Il faut la conserver, la garder, près de son cœur, Pour qu'elle nous apporte, douceur, et bonheur.
L'amitié se veut d'être sincère, sans détour, Une confiance que l'on espère, pour toujours. L'amitié la plus profonde, comme un frère, Rebute les mensonges, et paroles meurtrières.
Une amitié c'est être discret, silencieux, Elle se partage en groupe, ou même à deux. C'est la joie de rencontrer, de vraies personnes. Ou amitié fidélité sincérité, ces mots résonnent !
(marina)
le 7 fevrier - Loulilidy a écrit:
- Lou revint quelques temps plus tard . Avec un poème pour son amour entre les mains ; Elle avait écrit des mots tout simples en pensant à lui .
- Citation :
Mon coeur, mon ange, mon amour, J’aime être à tes alentours Et quand j’attends ton retour Le bien-être me savoure…
Comme un arc-en-ciel en coeur Les couleurs font mon bonheur Tu es mon bel embaumeur Avec toutes tes douceurs…
J’aime ton corps et ton âme Que mon esprit me réclame Quand tes doux gestes me calment L’amour en moi s’en exclame…
Je t’aimerai pour toujours Comme on peut croire en l’amour J’aime quand tes bras m’entourent Loin des appels au secours… le 8 fevrier - Jovalpeye a écrit:
- Jo passa à la maison des arts de Nevers pour y déposer une création d'elle, sa plume avait glissé sur le velin, à ces sentiments bien étranque que l'amour vous oblige à penser, doucement elle accrocha son poême qu'elle trouvait trés bien et disait vraiment ce qu'elle ressentait en ce moment..
[rp] Elle était comme une fleurs en fin de vie De ses douces mains il a effleuré les feuilles qui sous l'effet ont frissonnés Comme une rosée de printemps nourricière
Elle était fermé et flettris Avec ses gestes d'expert de lui elle s'est épanouis Ses jolies coroles se sont ouvertes Pour lui donner un pollen précieux et bien caché Elle brille sous les rayon doux du soleil Ou reflete luminosité de ses pétales
La tige penché s'est redressé comme cambrais Sous les mains du Jardinier aux mains de fée Frèle et fragile au passé Redressé et coloré au présent Eclatante de sa beauté juste pour lui
Grace à ce merveilleux jardinier Son bouton d'or pompe l'ennergie des doux rayons de soleil Ses pétales éclates de milles couleur Elle donne juste sa beauté à lui A se merveilleux Jardinier elle lui offres ses plus belle couleurs
Elle lui donne sa majesté et la pureté de son âme Toi le bon jardinier qui l'a sauvé D'une vie enfermé Ta douceur et ta passion l'ont enfin reveillé De se long sommeil loin de tes doigts de fée
Elle te dit je t'aime Elle te dit je te rend de moi tout ce que de toi je reçois[/rp]
C'était pour lui que ces mots étaient là, il se reconnaîtrait sans aucun doute leur coeur est unis au dela des frontières de ce royaume, la maison des Arts de Nevers était là aussi pour que rien ne s'oublie .. - Arnaud a écrit:
- Arnaud passa devant la Maison des Arts...ouverte à tout un chacun et y pénétra...un peu perdu...un peu déboussolé. Il prit la plume et laissa une trace de lui :
[rp]Tu es une fleur Que j'ai planté dans mon cœur, Tu as grandi, tu as fleuri, Puis de ton parfum je me suis épris, Par ta beauté j'ai été charmé Et avec douceur Tu as embaumé mon cœur de bonheur. Mais un jour un pétale tomba de cette jolie fleur, Puis un second chuta sans pudeur, J'ai alors tenté de la réparer, J'ai essayé de la réanimer Afin qu'elle retrouve sa gaieté Mais rien n'y fait, Ses pétales s'envolèrent Les uns après les autres Et malgré ce que jamais Je n'aurais pu imaginer, Je compris que cette fleur avait fané...[/rp]
Sa poésie réalisée, il sortit et s'enfonça à jamais dans l'ombre... le 10 fevrier - Sergioletendre a écrit:
- Pour toi ma Jo...
Tendres moments partagés, Intenses instants d'intimité, Des rêves d'immensité, Une infinie complicité.
C'est comme ça que je l'indique, Cette rencontre totalement unique, Une histoire bien plus que magique, Deux êtres follement romantiques, Un amour absolument idyllique.
Quoi de plus beau que cet amour, Qui durera plus que quelques jours, Où les heures s'enchaînent tour à tour, Tant les moments sont agréables chaque jour.
C'est bien plus qu'un trésor, Il est également très fort, Notre amour il vaut de l'or, Et même bien plus encore !
Ton jardinier preferé, celui qui t a relevé Sergio amore - Jovalpeye a écrit:
- Jo passa et laissa de sa plume un passage triste de sa vie, juste une larme venait de couler sur le velin.. Décidement tout pouvait être compliqué et si simple suffisait d'ouvrir les yeux
Toi
Je t'ai tant aimé j'ai tant attendu mais la vie sur ma route m'a fait croisé ce que j'ai cru dans un monde parallèle Alors qu'ici j'avais tant d'amour..
Cette chose fait tourner la tête Mon coeur n'est plus en fête Il est certain que je regrette Vouloir quitter, puis revenir, puis encore comme sur un fil frèle et si fin Mon coeur avait si peur
Je t'ai perdu pour une vie parallèle qui n'est plus J'avais cru que notre amour était impossible Alors j'ai laché l'oiseau en cage Pour lui donner sa liberté..
Mon coeur reste sec Mon coeur n'est pas ce qu'il devrait Alors comme une armure je le protège pour les coups futur Je ne voulais pas
le diable est entré Il m'a fait douter il m'a fait baffouer Il m'a fait attrister Il m'a fait briser
Je ne suis que stupidité Il ne faut plus m'approcher Car votre coeur je briserais Comme un mauvais sortilège Nul amour ne peut m'abreuver le 19 fevrier - Jovalpeye a écrit:
- Jo était d'humeur de plus en plus poêtique, chaque jour son coeur ramassait les émotions pour les faire glisser avec sa plume sur le velin, plus les jours passaient plus elle avait la passion d'écrire, on dit même que c'est dans les moments les plus triste de votre vie que votre plume est la plus belle, parce que justement à cet instant c'est tout simplement vos émotions et sentiments cachés dans votre coeur qui vous guides, les ecritures sont juste le reflet de ce que votre âme et coeur reflete vraiment, il faut laisser guider son coeur, mais nous avons souvent si peur de ce qu'il nous fait écrire ou dire..
[rp]Retiens le souffle chaque instant Le coeur bat la chamade D'une attente incertaine
Prison de sentiments profond Le regard perdu cherchant le signe La douce mélodie berce
Longue soirée devant une cheminée Promenade au clair de lune le regard perdu dans le bleu
Plonger dans le bleu azur de tes yeux voir le sourire sur ces lèvres souvent effleurées Du bout des doigts ou des lèvres
Et c'est dans se regard Qu'il y a toute la complicité Mais tantot timide tantot fougueuse
Les joues rougissent le coeur bat fort les mains tremblent
Toute ses émotions venant de toi Je les garde au plus profond de moi Pour ne jamais oublier ces instants
J'ai imprimé chaque geste de toi Gardé chaque instant prés de moi Je t'ai regardé vivre chaque jour
Dans la peur de te perdre à tout jamais Notre amour je n'ai pu effacer Tout ses souvenirs et cette tendresse
C'est surement parce que j'ai un besoin de toi C'est surement parce que sans toi je ne suis rien C'est tout simplement parce que je t'aime
Jo[/rp] | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Mar 6 Avr - 10:47 | |
| le 3 avril - Madysson a écrit:
- Encore plusieurs nuits a la belle étoile dans les vertes campagnes attendaient Mady,mais elle commençait a y être habituée,elle en avait eu plusieurs depuis son départ d'Aurillac. La jeune Aurillacoise avait entendu parler au village de la maison des arts de Nevers,chanteuse a ses heures,elle s'était promis d'y passer avant d'aller rejoindre Ada pour prendre un verre avec lui avant de se mettre en route pour la prochaine destination de ce long voyage...Elle s'arrêta devant la maison en question et la fixa pensivement,puis au bout d'un instant elle se décida enfin a y entrer.
A l'intérieur,personne en vue,c'était le calme total,Mady en fit le tour perdue dans ses pensées,elle se sentait bien seule sans son loup,elle se disait toujours qu'elle ne penserait plus a lui mais le dire et le faire c'était deux choses...Sa " Vanille " allait lui changer les idées maintenant qu'elle continuait le voyage avec elle,et elle le savait,elle ne s'ennuyait jamais en sa compagnie,les deux amies étaient pareilles sur plusieurs point,ce n'était pas pour rien qu'elles s'étaient vite liées d'amitié quand elles s'étaient rencontrées dans une taverne d'Auri...Il lui fallait chasser le loup de ses pensées a présent,il appartenait a une autre vie que Mady laissait loin derrière elle,de toute façon avec la vie qu'elle menait,l'amour n'avait pas sa place...Elle avait choisi cette vie,c'était ce qu'elle voulait,elle était jeune et préférait rester libre et sans attaches,avec Will,elle savait que ca aurait trop vite tourné autour du mariage et des enfants,elle ne voulait pas ca,et elle ne voulait surtout pas finir comme sa défunte mère et mourir pour suivre l'homme qu'elle aime,elle ressemblait trait pour trait a sa mère physiquement,mais pour le reste,elle lui ressemblait très peu,mise a part qu'elle avait autant de caractère sinon plus...
Marchant doucement dans les couloirs de la maison déserte elle se mit a chantonner...
On dort les uns contre les autres On vit les uns avec les autres On se caresse, on se cajole On se comprend, on se console Mais au bout du compte On se rend compte Qu'on est toujours tout seul au monde
On danse les uns contre les autres On court les uns après les autres On se déteste, on se déchire On se détruit, on se désire Mais au bout du compte On se rend compte Qu'on est toujours tout seul au monde
On dort les uns contre les autres On vit les uns avec les autres On se caresse, on se cajole On se comprend, on se console Mais au bout du compte On se rend compte Qu'on est toujours tout seul au monde
Mais au bout du compte On se rend compte Qu'on est toujours tout seul au monde Toujours tout seul au monde... | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Ven 11 Mai - 10:51 | |
| - Loulilidy a écrit:
- Attends !!! Attends Emmaline j'ai encore un petit poème fait cette nuit à la lueur de ma bougie ... Peux tu le prendre aussi ?
[rp]
Baiser volé, baiser sucré , Ta bouche m'a ensorcelée . Tes lèvres m'ont troublée... Dans tes bras ,me suis envolée ...
D'où viens tu ? toi mon messager ... De quel univers , dis moi ... De l'onde fraiche , du feu du désert ? Ou simplement si près de moi ...
Tu m'as trouvée ... Me cherchais tu ? J'en doute un peu ...Certes tu m'as croisée Mais me garder tu ne le peux ... Me fuiras tu ? J'espère que non , j'espère que non ...pas m'oublier ...[/rp] - Valeryane a écrit:
- Jo savait pas si s'était le fait d'être dans sa ville à nouveau mais entre l'amour qu'elle avait pour son tendre qui lui rendait bien, sa plume lui titilla, elle passa à la maison des Arts et y déposa un poeme..
[rp] A la rosée un doux réveil Un berceau de vie Les bourgeons attendent Que les rayons de soleil arrivent Bercés doucement par le chant des oiseaux La nature s’éveille pour son festival Elle laisse découvrir enfin Toute cette beauté cachée Comme la douce vierge Qui s’éveille à l’amour Des douces caresses de son amant Elle donne sa beauté Le grand jardinier Illumine de mille couleurs Ce jardin secrètement gardé Comme les ailes d’un papillon Elle en est aussi fragile Les pétales doux colorent les champs Laisse butiner les abeilles Douceur du miel fondant Partout chante l’amour D’une mélodie enchanteresse Ce jardinier donne son amour Ses mains pleines de tendresse Un frisson sous cette caresse Comme une brise qui effleure Saison des amours, des amants Une explosion de vie Elle se prépare à la saison prochaine Pour donner les fruits délicieux Aux formes pulpeuse et envieuse Gorgés de jus sucré Par la gourmandise de nos bouches nous sommes attirés Tentation de dame nature Il me tarde chaque année de te revoir[/rp] - Valeryane a écrit:
- De Bonheur humeur et levé de trés bonne heure Jo décida de passé à la maison des arts pour y deposer un petit mot tout doux..
[rp] Tu es comme mon printemps Devant toi mes sentiments explosent Je voudrais par moment arrêter le temps Pour profiter de toi chaque instant
Il en a fallu des choses Pour enfin que tout se repose Alors de doux baisers de velours Devant toi je depose mon amour
C'était juste pour te dire combien je tien à toi Que je suis prisonnière de ton coeur J'aurais été pour toi au bout de monde Alors excuse moi si j'ose te garder jalousement prés de moi
Un seul baiser de toi suffit à calmer Mes colères et mes angoisses J'espere en mon coeur ce Oui dit Tantot Je garde en mon doigt cet anneaux serti précieusement
Ta douce Jo[/rp] - Watelse a écrit:
- Maitre Georges Léonard Watelse se sentait de fort agréable humeur. Il parcourait sa nouvelle ville, ruelles, maisons, rien ne lui échappait. Pas même ce local. Il donna deux sous à un gosse qui passait:
Dis moi, gamin, qu'est ce donc que ce local?
Après avoir obtenu réponse du jouvençau, il se dit que l'Art ne serait Art que si un Watelse y apposait sa griffe.
Il donna de nouveau 2 sous au garçonnet pour qu'il ameute le plus de monde, ainsi que sa fiancée devant le perron.
De cet endroit, Watelse chauffa sa voix, gonfla le torse. Et lorsqu'il lui apparut une foule suffisante, il déclama d'une voix grave et mélodieuse ce chant... étonnant:
Ooooooooooooooooooooooooooo
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
(Il échauffe encore un peu sa voix)
Iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
(Il entame sa chansonnette)
Chanson de fiançailles pour celle, Ellya de la Duranxie la Péronnelle, Qui me fera profiter de son titre de baronne Watelse, apparenté noble, qui cela étonne? Hanches larges et cuisses légères, Noble femelle, tu me rendras fier père D'un rejeton Watelse le Brillant Car pour sûr, ce fils sera un géant Dans les affaires comme dans l'esprit Ses paroles n'auront pas de prix Par contre il n'aura de cesse que de satisfaire Les uniques volontés de son père : Rendre muette sa bigotte de mère Qui lui casse les oreilles en ennuyeuses prières Et étendre le Watelisme, philosophie masculine Où l'homme est le plus Grand, et la Femme une sale coquine.
Ellya de la Duranxie, rien ne vous étonne Alors ne sourcillez guère si je vous informe Que lorsque votre ventre gros vous aura rendue difforme A peine accouchée, je vous somme de devenir Nonne Vous aurez, autant que femelle le peut, accompli votre dû Et d'aucune dette jamais plus vous ne serez tenue. - Sandino a écrit:
- ...A peine le temps de faire une halte que le clan se préparait à repartir, cependant Sandino ne pouvait se contenter de lire les textes affichés dans la maison des arts, il voulait laisser un témoignage, chose qu'il fit avant de rejoindre la kumpania pour écluser quelques chopines.
I rigati di tempo*
(* les moments perdus)
Là où sur l’ardoise glisse l’eau Le soleil dessine de brillants émaux L’ombre y joue un moment à cache-cache Avant que les nuages errants ne se fâchent Tout fait à la pluie un calice Baignant jusqu’au faîte des édifices
Là où sur le corps la peau plisse Le sommeil dessine des précipices Le sombre y joue par petites taches J’y risque mes doigts sans que tu ne le saches Tout fait à l’amour saisons A sa folie une raison
Sur l’ardoise le sec s’est étendu L’orage ailleurs dispense ses sous-entendus Des moments perdus nulle trace sur mes mains La nuit venue porte de l’amour nos lendemains Que deviennent les moments perdus, sous l’ombrage suspendus ? Font-ils un triomphe au jour déclinant A nos âmes fourbues un firmament ?
Dil destino si védono il viso In l’ambra dil giorno Di nostri giorni faremo una vita Intorno dil falo dil amoro una città*
( Du destin se voit le visage…dans l’ambre du jour…de nos jours nous ferons une vie…autour du feu de l’amour une cité.) | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Ven 11 Mai - 11:01 | |
| 8 mai 2010 - Valeryane a écrit:
- Cela faisait longtemps que Jo n'était pas passé à la maison des arts, d'humeur poete ce jour, elle décida de poser sa plume..
[rp]
Le papillon
Un papillon qui vient butiner de fleurs en fleurs De ses douce ailes les coroles il effleure Un léger vent vient de le faire frissonner Une fleur reste fermé dans ce paysage printanier Il se doit d'attendre qu'elle décide enfin de s'épanouir Ce jour la elle pourra lui offrir Son pollen merveilleusement sucrée Il attend caché il ne peut que l'effleurer Elle a prit son temps pour emmerger Elle attend le bon moment Il sait qu'il faut prendre le temps Mais une fois ouverte elle ne sera plus protegé Elle ne pourra plus se refermer Le papillon se pose sur son coeur Elle lui offre toute sa douceur Et en un coup de vent tout s'envole Dans une danse d'ailes et de corolles Tout se mélange haut en couleur Dans le tourbillon d'une douce ardeur [/rp] - Valeryane a écrit:
[rp]
L'ANGE ICI
Un hommage à toi qui rejoins les étoiles Ton visage reste imprimé sur cette toile Je ne peux qu'avec regret m'en vouloir De t'avoir plongé dans le noir Je garde les souvenirs mais aussi nos coeurs que j'ai fait souffrir Vivre au présent Continuer la route autrement Toi la haut dans les nuages Moi ici bas je tourne les pages Plume à la main je t'envois cet hommage Dans le ciel étoilé chaque soir je revois ton visage Je te dis pas adieu mais au revoir car je sais que moi aussi un jour je rejoindrais les cieux Maintemant par ma faute tu as fini de souffrir Maintemant par ta faute j'ai fini de souffrir De tes souvenirs il me reste un sourire De nos fous rire je ne cesse de rire Toi tu vas vers les étoiles et moi je garde ce passé sur la toile[/rp] 11 mai - _la_fauve a écrit:
- Un peu impressionnée Chelsy entra dans la grande salle et alla accroché son petit poème dans un coin de panneau...
[rp] J'écris ses quelques vers Pour rendre hommage à Nevers
Je ne suis pas encore une experte Mais je ne compte pas rester inerte
J'ai trouvé ici des tavernes charmante Et d'en apprendre plus, je suis impatiente
Parrain, Marraine Je ne suis pas mauvaise graine!
Juste le temps de m'orienter Pour que ma folie puisse germer....[/rp] - Guillaumin a écrit:
- En entrant dans les lieux, Guillaumin se dit immédiatement qu’il avait fait erreur ! Qu’est-ce qu’un homme comme lui pouvait bien faire dans la « maison des arts »… Et bien rien justement ! L’art, il ne connaissait pas ! Et la poésie encore moins…
Il regarda tous ces mots accrochés aux différents murs de l’établissement et un mal de tête le prit tout à coup. Il savait à peine lire et des dizaines de mots semblaient le narguer, se moquer de son ignorance !
Bon, il avait bien quelques notions qui lui permettaient de bien reconnaître les nombres et de déchiffrer des mots courts, mais après ça… pas grand-chose !
Ne voulant cependant pas s’avouer vaincu, il tenta de repenser à une comptine de son enfance, ou plutôt une berceuse que lui chantait sa mère… Là où il avait été élevé, la littérature n’était pas le souci majeur et seules quelques rimes murmurées le soir avant de dormir faisaient office de poésie.
D’un air de défi nostalgique, il haussa donc la voix dans cette salle vide et chanta
Dors mon cher petit ange Que rien au monde ne te dérange Et que les bruits qui t’entourent Ne soient pas plus fort que mon amour
Tu es tout ce que j’ai dans ce monde Et même si au loin d’orage gronde Saches que mes bras autour de toi Te protégeront toujours du mal et du froid
Mon enfant tu es mon trésor Ma joie, ma vie, et bien plus encore Et je sais qu’homme de bien tu deviendras Car avec tout mon amour tu grandiras
Dors mon cher petit ange Et que rien au monde ne te dérange Car ce soir tu es dans ta maison Pleine de chaleur et d’affection - Loulilidy a écrit:
- Lou entre dans la maison des arts et trouve Emmaline et Guillaumin qu'elle a croisé plusieurs fois déjà ... Celui ci n'a pas l'air très à l'aise , Lou les embrasse et s'empresse d'écrire quelques mots pour l'être que son coeur a choisi .[i]
[rp]Jef ... Je ne sais comment te dire , Je ne sais comment te l'écrire ... Les mots ne sont pas assez forts , Les écrits ne sont pas mon fort ...
Néanmoins je ne peux me taire , Il faut que tu le saches , c'est nécessaire , C'est vital , j'ai envie de le crier partout , aux arbres, à la forêt, à la rivière ...
Comment me passer des ces mots si doux , Que tu glisses au creux de mon cou ... Moi je veux te dire les mêmes et plus encore, J'aimerais que tu saches combien c'est fort ...
Malheureusement un seul mot ; il n'y a qu'un seul mot : Je t ' AIME ... Même pas une prose ... Et je te dis Idem si tu me dis la même chose ...[rp]
[i]Lou va accrocher son poème en espérant que Jef passe par là ... Puis elle salue Emma et Guillaumin et se sauve sur la pointe des pieds ... - Guillaumin a écrit:
- Guillaumin qui était maintenant à la porte, entendit la jeune femme s'adresser à lui. Se disant que maintenant il était trop tard pour reculer, il fit contre mauvaise fortune, bon coeur... Surtout qu'elle lui adressait de gentils compliments.
Dame,je ne sais pas si j'ai une belle voix mais j'ai chanté avec mon coeur. Cette chansonnette me rappelle mon enfance, et qu'y a-t-il de plus doux que cette période dans la vie d'un homme ! En tout cas, je vous remercie beaucoup de votre attention. Je suis venu ici en curieux, mais je ne sais pas si je reviendrai... Je n'ai pas trop l'âme d'un poète... En tout cas je suis ravi de vous rencontrer, je me nomme Guillaumin, nivernais depuis peu !
Le jeune homme vit ensuite entrer Loulilidy. Il la salua avec chaleur et la regarda accrocher un poème dont avec pudeur, il évita de déchiffrer la teneur. De toute façon avec ses aptitudes limitées en lecture, il lui aurait fallu une bonne heure pour tout lire ! - _la_fauve a écrit:
- Depuis un moment Chelsy était dans son coin. Elle aimait observer le va et vient des artistes.
Les artistes d'un jour ou ceux de toujours, peu lui importait. Seul le mouvement des corps l'intéressait. Ce sentiment de compagnie alors qu'on pouvait à peine là voir. Une présence, un regard pour remplir ses journées...
Emerveillée par l'humanité, éblouie par la créativité que chacun pouvait émettre, elle se sentait bien en ce lieu.
En cet instant la tendresse et l'amusement se mêlaient en elle. La chanson que Guillaumin venait de conter lui avait rappelé sa tendre enfance, l'âge où on a pour seul soucis les cauchemars de la nuit et pour meilleur réconfort les bras d'une mère. La démarche peu assurée et la timidité naissante avait aussi beaucoup fait sourire Chelsy.
De loin, elle l'observait en silence depuis son arrivée.Pendant qu'il discutait avec Emmaline, l'attention de Chelsy fût retenue par sa marraine qui entra accroché un papier au mur des poèemes et chants... 9 juin 2010Emma entra dans la maison des arts pour y faire un peu de rangement et d'epoussetage,elle croisa Wilh dans le couloir qui resortait.Eh bonjour Wil!cmment vas tu?
tu es venu amener tes oeuvres? Emma regarda le tableau qu'il venait d'accrocher. ouah c'est trés beau!
si tu ne peux pas tout amener ici,tu sais que tu peux les mettre a l'academie des arts au village,c'est libre pour tout le monde et ça y restera a jamais https://village-de-nevers.forums-actifs.com/academie-des-arts-de-nevers-c6/regarde wilh,j'ai amené un poéme,je l'aime beaucoup elle se mit a lire le poeme de tout son coeur: - Citation :
- Si tu ne trouves pas le bonheur,
c’est peut-être que tu le cherches ailleurs... Ailleurs que dans tes souliers. Ailleurs que dans ton foyer.
Selon toi, les autres sont plus heureux. Mais, toi, tu ne vis pas chez eux. Tu oublies que chacun a ses tracas. Tu n’aimerais sûrement pas mieux leur cas.
Comment peux-tu aimer la vie si ton coeur est plein d’envie, si tu ne t’aimes pas, si tu ne t’acceptes pas ?
Le plus grand obstacle au bonheur, sans doute, c’est de rêver d’un bonheur trop grand. Sache cueillir le bonheur au compte-gouttes : ce sont de toutes petites qui font les océans.
Ne cherche pas le bonheur dans tes souvenirs. Ne le cherche pas non plus dans l’avenir. Cherche le bonheur dans le présent. C’est là et là seulement qu’il t’attend.
Le bonheur, ce n’est pas un objet que tu peux trouver quelque part hors de toi. Le bonheur, ce n’est qu’un projet qui part de toi et se réalise en toi.
Il n’existe pas de marchands de bonheur. Il n’existe pas de machines à bonheur. Il existe des gens qui croient au bonheur. Ce sont ces gens qui font eux-mêmes leur bonheur.
Si, dans ton miroir, ta figure te déplaît, à quoi te sert de briser ton reflet ? Ce n’est pas ton miroir qu’il faut casser. - Thema. a écrit:
- Thema entra ....... lit beaucoup avant d'oser mettre le sien ... meme si son ecriture semblait maladroite il avait envie de l'ecrire.......
Pour Elle .......
Nos âmes sombres volaient dans le ciel Le printemps est venu mon hirondelle Mon dieu qu'il est bon d'être heureux Nos coeurs au chaud près de ce feu.
Tant de réconfort dans ton doux sourire... Ta voix, ton corps appellent au plaisir Ce plaisir intense qui ne s'achète pas Mais qui se sème et se cultive pas à pas
Imaginer ton visage ivre de bonheur Après la jouissance de nos deux corps Eprouver ce sentiment d'amour fusionnel Le seul qui un instant nous rend éternels
Ma belle, ton être tout entier est gracieux Tel un diamant pur devant mes yeux Un sortilège merveilleux nous entoure Celui là se résume en un mot : Amour
(source Didier Colomban)
- Valeryane a écrit:
- Elle avait été trés touché par les mots de Thema, l'émotion lui avait fait prendre sa plume, et lui rendre ces mots qu'elle avait pour lui aussi...
[rp]Juste toi..
Au premier jour était déjà l’amour J’ai voulu rien faire paraître Mes mon coeur étais déjà dans ton écrin de velours Notre amour venait de naître
Chaque jour mes yeux guettaient le ciel Mon cœur battait chamade A de si joli rendez vous au goût de miel Je savais que ce n’était point une mascarade
L’impression de t’avoir toujours eu prés de moi Je te regardais et mes yeux brillaient Les mots, les rires la joie Tout ton toi m’as fait chavirer
Des nuits et des matins brûlants Une vie nouvelle à construire Je pense à toi chaque instants De tes bras rien ne peut me faire fuir
Il n’y a qu’une grange qui pourrait dire Que notre amour est fort Et aujourd’hui je vais te dire Seule ton amour suffit, je n’ai point besoin d’or
Je t'aime[/rp] - Thema. a écrit:
- Se sentant grisé par sa première prose et la reponse de Jo, Théma se répéta .....
A Toi,
A Cosne, au hasard d'une taverne, Nos destins ont basculés, J'ai su que tu étais mienne, Quand mes yeux sur toi se sont posés, Mon regard s'est noyé dans le tien Sans pouvoir sans détacher, Mais mon coeur était pris, Alors simplement je t'ai souri, En retour ta voix s'éleva, Et me foudroya, J'ai su à cet instant, Que j'étais perdu, Plus rien n'existait plus, La flèche de Cupidon avait eu raison, De mes bonnes résolutions, J'ai laché du lest, Et nos gestes ont fait le reste, J'étais sous le charme, De la plus merveilleuse des femmes, Je t'aime
[hrp]monsieur le censeur je ne savais point qu'il fallait citer ses sources ce poeme etant un poeme connu ..... il collait parfaitement avec mon RP je ne recommencerai plus ^^[/hrp]
- Valeryane a écrit:
- [rp]
Thema Mon bonheur
C'est la satisfaction de t'avoir et de construire un avenir Un affection si forte que je ne peux avec de simples mots écrire Des émotions immuables que je ne peux décrire Avec toi j'ai tant de Plaisir
Notre bonheur
C'est des désirs comblé qui vienne nous satisfaire Des sentiments joyeux qui remplissent nos coeurs Un vie complète et entière
Notre bonheur
C'est la paix que chaque jour prés de toi tu me procure Nos passions enveloppées de fougue qui dure Cette amour que tu me donne me rassure
Mon Bonheur c'est toi Notre Bonheur c'est nous [/rp] - Emmaline a écrit:
- Emmaline venait faire son menage hebdomadaire a la maison des arts et emmener les dernieres oeuvres au village.Elle n'allait pas tres bien ces derniers temps,des evenements avaient bouleversé sa vie mais une rencontre inattendue avait un peu changé sa vie ,et lui avait redonné du courage .
Elle pris la plume posée sur le pupitre et eut envie d 'ecire un petit poeme .
pour toi,
Parce que sans toi Je ne serais pas moi Tu as su me donner du courage Et enlever de mon corps cette rage
J'ai besoin de ton soutien jamais assez je te dirai combien a toi , a nous je tiens Te parler me fais tellement de bien
Est-ce que notre amitié résistera? Est-ce que tu me supporteras est ce que tu te reconnaitras notre destin le sait et je sais que tu es dans mon coeur a jamais - Frangor a écrit:
- Frangor trouva enfin ce qu'il cherchait dans cette bonne ville ...
Un endroit tranquille où il pourrait à loisir exercer son art certes juvénil.
Il s'assied donc dans un petit coin de la pièce, sortit son étui à parchemin, Son encrier ainsi que sa plume, ses fidèles objets, toujours sous sa main.
Il prit le temps de soigneusement déplier le précieux velin Cherchant l'inspiration, il pensa à sa déesse aux allures de félin.
Trempant soudain sa plume dans l'encrier, il se mit à écrire :
Calé au fond de mon fauteuil, à l'ombre sur ma terrasse, Laissant libre cours à mes pensées vagabondes, je rêvasse ! Au loin, derrière la pinède, au-delà des collines, Le soleil doucement se couche et sa lumière décline.
Pareil à ma vie, à mon futur très incertain, Le ciel s'emplit de cette noirceur bleu satin Les dernières cigales, épuisées, chantent encore Dans un ultime espoir de tendre corps à corps
A cet instant, viennent à mon esprit de cruciales questions ! Où va ma vie dans ce maëlstrom, ce noir tourbillon ? Qu'ai-je fais de si mauvais, pour subir un tel châtiment ? Je voudrais mourir, m'éteindre comme ce jour, gentiment !
Mais je ne décide pas de cela, là n'est pas mon dessein. J'ai beau essayer de prier Dieu et tous ses saints Je suis encore là a attendre je ne sais quoi, Mort-vivant, âme en sursis, un semblant de moi.
Qui suis-je pour réclamer à Dieu que vienne mon trépas ? Que suis-je, moi, pauvre mortel ? Pour Lui, je n'existe pas. Poussière sur la terre, goutelette dans l'océan… Il ne m'entend pas, me laisse dans cet infini néant !
Ma bouche reste muette, mon cœur appelle au secours Ce cri au fonds de mon être, annonce un non retour ! Cette plainte lancinante, envahit bientôt toute ma conscience Et mes yeux se chargent de larmes devant mon impuissance.
Où donc sont passés mon optimisme et ma joie de vivre ? Ma courte existence semble se refermer comme un vieux livre Sur un destin dont je ne maîtrise rien, qui totalement m'échappe Et le poids des galères endurées appuit sur moi sa lourde chappe.
Il est bien tard maintenant, le firmament s'intalle peu à peu, J'aperçois l'étoile du berger, la belle Vénus... Présage heureux ? Qui sait ? Peut-être est-elle la clé ? Le symbole d'un espoir Un phare, une bouée dans ce naufrage annoncé ? Je veux y croire !
Ce poème bien que sombre, reflètait néanmoins parfaitement son état d'âme. Sombre il était mais non dénué d'espoir... Il rangea paisiblement son matériel, puis laissa son poème affiché sur un mur où d'autres y figuraient. Il sortit d'un pas non-chalant, perdu dans ses pensées, pensées qui toujours allaient vers elle... Elle ! son étoile, sa déesse comme il aimait à l'appeler...
- Genesia a écrit:
- [rp]Genesia qui n'était pourtant pas adepte des poêmes s'était mise a écrire pendant ses longues attentes en taverne.
Nevers était mortel et elle avait décidé de reprendre la route dans queques jours, elle était venue cherché des réponses à ses questions, et elle les avaient eu... Non pas pas la discussion mais par l'attitude...
Décidément les beaux parleurs le resteraient toujours... Elle alla à la maison des arts et déposa son poême imporvisé
- Citation :
- Un retour très difficile
Je pensais trouver une autre ville Mais tout est resté figé Même torpeur inchangée Je sais que ma place n’est plus ici La belle Nevers reste un souvenir enfouit Su les routes je vais à nouveau errer Jusqu'à ce que je m’effondre fatiguée J’ai la confirmation de ce que je cherchais Même si la page ne sera jamais tournée [/rp]
- Frangor a écrit:
- Frangor retourna avec plaisir dans cet endroit qu'il affectionnait tout particulièrement. Il s'y sentait bien et appréciait la douce quiétude qui y régnait. La tranquilité des lieux à cette heure de la journée se prettait également à la pratique de son art.
Il prit place à la même table que précédemment et y pratiqua le même "rituel".
Il laissa ensuite courir sa plume sur le vélin, comme si elle était mue par une vie propre.
Ose...
Ma Sacrée tasse entre mes mains, je sirote mon breuvage noir. La température est basse et mon cœur se glace de désespoir. Ton absence est un si grand vide, le manque de toi un puits sans fond. Mon Amour, reviens-moi vite, je t’en prie, sans toi je me morfonds.
Quand, à la nuit tombée, j’aperçois une étoile filante, je fais un vœu, Celui bien sûr de vivre enfin près de toi, avec toi, pour toi, heureux. Tu sais que pour cela, de toi, je n’attends qu’un seul et moindre signe Afin d’être à jamais ton fidèle compagnon, de ton amour être digne.
Ma vie loin de toi est comme arrêtée, j’ai cessé d’exister, de vivre ! La douleur de l’éloignement, de l’attente, me rend malheureux, ivre. Je t’aime Thaly, la peine me paralyse, annihile toutes mes pensées, Ôte tous les mots que je voudrais chuchoter destinés à t’encenser.
Toi Déesse de mes jours et de mes nuits, de l’amour et de la tendresse Toi mon doux rêve, n’entends-tu point mes appels de détresse ? Ne peux-tu point, pour un futur radieux laisser là un passé peu envieux Ne m’abandonne pas, Thaly, ne me laisse point, sans toi, devenir vieux !
- Claudiusrr a écrit:
- Alors que claudius se balladait, il trouva en un lieu un coin de paix et de sénérité. S'y asseyant un moment, il ferma les yeux et se laissa aller. Quelques vers qui peut etre seront les derniers, ou bien, qui sait, les premiers d'un longue lignée...
Que sommes nous pauvres mortels aux ames bléssées Nous qui marchons sur les chemins de notre destinée Ne vois tu pas tout ce qui t'entoure Et qui te couvre de tout leur amour Admire cette belle matinée qui s'offre à tes yeux Tout ce qu'elle a de plus merveilleux Admire ce ciel limpide d'une rare beauté Où le soleil de ses rayons vient te carresser Ne vois-tu point cette frele tige Qui ouvre sa corole aux milles vertiges Et quand vient la journée bien avancée Ne vois tu pas la vie s'animée Que fais tu toi de ta destinée Toi qui avance d'un pas effreiné Ne regarde tu pas à quelques moments Toutes ces choses qui font de toi un enfant Un enfant qui parfois s'émerveille à peu de chose Ces peu de choses qui font rêver à quelques proses Alors moi je te dit Quand tombe la nuit Allonge toi sur l'herbe fraiche du soir Laisse pour un temps de coté ton désespoir Et admire ce ciel si limpide d'une rare beauté Ce meme ciel que ce matin tu as admiré Tu y verra alors que meme dans le plus profond de la nuit Une douce lumière peu en surgir sans bruit Comme ces étoiles qui chaque soir Viennent briller dans ce ciel noir Illuminant ainsi nos yeux De milles feux merveilleux
- Frangor a écrit:
- Comme poussé par une force irrésistible Frangor revint à la Maison des Arts ...
Il ne savait pas encore qu'il allait avoir une révélation... Errant dans les lieux, cherchant pourquoi il était là, quelle était la raison qui l'avait incité à revenir ici, il ne tarda pas à tomber sur le poème de Claudius qu'il lut avec un intérêt grandissant.
Ce poème semblait presque lui être destiné !
Il lui faisait comprendre qu'il ne devait pas sombrer dans le désespoir mais au contraire, aimer la vie et y croquer à belles dents.
Il pensa à sa Thaly... Eût un magnifique sourire et sortit tout regonflé d'amour et de gaité...
Il ne manquerait pas d'en remercier Claudius car, même si ce joli poème ne lui était pas destiné, il n'en restait pas moins une belle leçon d'optimisme... La journée s'avancant à grand pas, claudius ouvra les yeux et s'en retourna.....
C’est toi qu’il faut changer !
Charles-Eugène PLOURDE, Une lumière sur mes pas | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Ven 11 Mai - 11:45 | |
| 13 aout 2010 - Jeannedereal a écrit:
- Jeanne se promena le long des murs en lisant les poèmes accrochés, elle sortit de sa poche celui qu'elle avait composé, le relu, et avec un petit sourire le fixa au mur à coté des autres.
Elle savait que celui à qui il était destiné, le lirait sans problème, mais lachement ne dirait rien.
La mort n'est qu'un passage inéluctable. Tu as choisis lachement, tu l'as emprunté. J'aurais aimé que tu me dise la vérité. Je suis resté moi-même, l'être que tu as connu. Pourquoi encore pleurer, tu m'as fait changé ! Il faut reprendre le cours de ma vie. Ne pas être triste Le fil ne sera jamais coupé Tu as pris une route différente Tu n'es pas loin, juste à côté Je fais partie de tes pensées. Tu es dans l'ombre A regarder, a épier. Je ne désire qu'une chose : La vérité ! - Frangor a écrit:
- Il y avait trop longtemps que Frangor n'était revenu en ces lieux paisibles trop affairé qu'il était par ses fonctions de garde pêche confiées par sa douce amie Thaly. Il lu le seul poème laissé depuis son dernier passage, celui écrit de la main de Jeanne. Quel mystère résidait dans son message ? Il se garderait bien de le lui demander. Il n'était point du genre à s'immiscer dans la vie privée des gens, encore moins lorsqu'il s'agissait d'affaires de coeur...
Il entreprit tout heureux de composer son nouveau poème :
Par une douce matinée, l'ange est apparu Déployant ses ailes à la blancheur accrue Par un rayon de soleil dans ma vie revenue Je la vois ... Dieu qu'elle belle parmis les nues
Mon ange est de retour, avec son flot d'amour Je m'en délecte sans détour, lui refais la cour Parée de ses plus beaux atours, belle comme le jour Forte comme une tour, elle allège mon coeur lourd
Je t'aime Ô déesse éternelle, divine étincelle Dans mon âme rebelle, tu as gravé au scalpel Des mots d'espoir, de rêve, comme une ritournelle En folle hirondelle, tu tournes et vires à tire d'ailes
Tu m'enivres de ta douce voix, de tout de toi Et, s'il arrive parfois, que le doute soit en moi, Tu sais que ton Roi, toujours restera en émoi J'aimerais sous ton toit, finir mes jours avec toi...
Puis il rangea soignement son petit matériel et partit le coeur léger cette fois pour sa journée de labeur. - Claudiusrr a écrit:
- Claudius, qui avait besoin de se ressourcer un peu, se dirigea vers la maison des arts. Apres avoir fait le tour des oeuvres, plus belles les unes que les autres, il s'assit dans un coin et laissa le temps défilé, se vidant l'esprit. Tres vite, quelques mots lui vinrent à l'esprit, il decida donc d'en inscrire quelques uns....
Soleil de printemps Toi qui nous aime tant Toi qui nous rechauffe chaque jours Toi qui veille sur nous depuis toujours Aporte ta douce chaleur A toutes ces âmes en pleurs.
Soleil d'été Toi qui nous donne gaité Toi qui fait de ces belles journées De fines douceurs sucrées Laisse nous ta douce chaleur Qui nous ampli tant de bonheur
Soleil d'automne Toi qui chaque jours nous étonne Toi qui joue de nos envies Toi qui protege nos vies Laisse nous ta douce chaleur Afin que s'éffacent nos peurs
Soleil d'hiver Toi qui entend nos prières Veille sur nos modestes chaumieres Et protège de nos terres Laisse nous ta douce chaleur Réchauffant ainsi nos coeurs
Car tout comme toi Soleil Nous ne sommes que simple merveille Nous naissons au printemps Ouvrant nos bras au temps Nous florissons en été Filant au travers des sentiers Nous fanons en automne Attendant que notre heure sonne Nous mourrons en hiver Laissant nos enfants derriere
Il déposa alors son écrit au mur, parmis les autres, et s'en retourna rejoindre la réalité...... 15 septembre - Emmaline a écrit:
- Emmaline revint apres quelques temps dans cette maison des arts ou ele aimait se ressourcer en lisant les poemes ou regardant les tableaux Elle trouva le poeme de Claudius tres beau .
Elle avait le coeur morose aujourdhui ,elle prit la plume et ecrivit:
Ma plus belle lettre d'amour, C'est celle que je n'écrirai pas Qui grandit en moi chaque jour, Mais qui se tait, qui reste là.
Celle à ces amies rencontrées Sur les chemins de mes hasards, Au chaud soleil de mes étés A mes éclairs dans le brouillard.
Celle aux forêts qui me murmurent Des chants que répète le vent, Craquements secs des déchirures Sur symphonie des sentiments.
Celle à mes enfants qui s'en vont, Que je voudrais sur mes genoux, Celle du merci, du pardon Si je ne vais pas jusqu'au bout.
Celle aux toits blonds de mon village, A la mairie , au tableau noir, Aux souvenirs qui n'ont plus d'âge Noyés de pluie sur le trottoir.
Celle à tous ceux partis trop tôt, A qui je n'avais pas tout dit, Disparus tels des ronds dans l'eau Touchant aux rives de l'oubli.
Celle à ce chien qui me regarde Et qui se demande pourquoi Me sont venues quelques lézardes Et quelques sanglots dans la voix.
Celle à quelqu'un ou à quelqu'une A un passant, une inconnue, Ou à ma douce amie la lune, A ce ruisseau qui s'est perdu.
Celle à vous tous près de ma page Que je devine dans le noir, Un peu comme un livre d'images Que feuillette un enfant le soir.
Ma plus belle lettre d'amour, C'est celle que je n'écrirai pas Qui grandit en moi chaque jour Mais qui se tait, qui reste là.
"Lauragaelle" 30 septembre 2010 - Emmaline a écrit:
- c'etait a nouveau le moment de faire un peu de ménage dans cette maison des arts,les tableaux etaient pouqssiereux,les parchemins egalements,certains etaient prets a tomber.
Emma y passa la matinée ,puis avant de partir elle prit la plume et un parchemin pour ecrire ce qui lui passait par la tête a ce moment là.Elle avait rencontré des amis de Cosne en taverne,ils avaient beaucoup ri , Emma s'etait un peu confiée et maintenant elle rêvait aussi de remparts... Elle sourit en pensant a eux et ecrivit:
- Citation :
- Comment faire, pour se plaire.
On est de la même terre mais pas du même monde. Quel enfer de se taire, mais comment se parler ne serais-ce qu'une seconde, rien ne sert, des préjugés, des codes, des barrières.
Donne moi une chance, donne moi au moins un concours de circonstances, donne moi une chance, donne moi au moins un doute, une coïncidence. J'ai mon corps qui t'appelles et le cœur qui te pense, donne moi une chance, dans la foule infidèle, accorde moi une danse, donne moi une chance.
On s'évite, ça excite, bien sur l'indifférence attise les envies, tes regards qui s'égarent, on a beau le vouloir, l'autre nous l'interdit, et on part, mais dis moi où peut-on se revoir.
Apprendre à se connaitre, un jour, un soir, et si nos âmes s'attirent, ne plus rien s'interdire et puis voir, ce qu'on peut devenir.
Comment faire, pour te plaire. On est de la même terre mais pas du même monde. Quel enfer de se taire, mais comment se parler ne serais-ce qu'une seconde, rien ne sert, des préjugés, des codes, des barrières.
Gregoire) 23 octobre - Valeryane a écrit:
- [rp]
Je veux crier
Ce mal qui me prend le ventre et le cœur Ce n’est simplement que l’amour que j’ai pour toi Cette prison ou je suis enchaînée de tes désirs Qui font de moi l’esclave de ton cœur.
J’en perdrais mon âme par amour Dans mon cœur est tracé ton nom Des douces folies de notre vie Je suis devant toi que velours
La plus belle blessure à mon cœur Est l’amour que je te porte Unis dans tes bras chaque nuit Contre toi je n’ai plus de peur
Alors oui j’aime ce mal en moi Ce mal qui fait de moi une femme fragile Dans ton regard noir j’aime à me perdre Tout mon corps frissonne de toi
Je dis oui et dirais oui pour m’unir Un oui pour la vie devant Aristote Dans un chemin de douce folie Je regarde l’horizon à notre avenir
De Thema à Darkangel rien ne change Tu es toi et je suis moi Des erreurs arrivent mais ne tâche pas mon amour Dans mon cœur rien ne change
Ne lâche pas ma main reste prés de moi N’enlève pas les chaînes de mon cœur Car je ne veux pas être libéré de toi Je veux restée enchaînée à toi
Je suis devant toi qu’une femme qui aime Je suis dans tes bras une amante Je suis devant toi que douceur et tendresse J’existes que si tu m’aimes
Ton odeur m’enivre Tu m’envoûtes de ton amour Dans tes bras je connais l’ivresse De ton amour si fort que j’aime vivre
Bientôt sur notre chemin à la suite de notre destin Pardonne mes petites erreurs comme je peux pardonner les tiennes Ma plume glisse ces quelques mots Juste pour te dire encore je t’aime
Je t'aime
Jo[/rp] - Aleen a écrit:
- Aleen n'avait jamais mis la pointe de ses poulaines en ce lieu, elle vit quelques poèmes laissés là reflétant l'humeur du moment de son auteur, elle prit une plume, un parchemin et se mit à écrire
Conseil aux femmes
...L'amour pour vous est une affaire, L'amour pour l'homme est un plaisir; S'il est jaloux par caractère, Il est volage par désir : Imitez-le, lorsqu'il s'envole Dès qu'il s'irrite, osez le fuir; Quand de sa perte on se console Il est prompt à reconquérir.
- Arnaud a écrit:
- Arnaud vint se ressourcer en ces lieux par la lecture de quelques merveilleux poêmes quand le dernier retint son attention et il prit à son tour la plume...
[rp]Faut pas pleurer comme ça Demain ou dans un mois Tu n'y penseras plus Faut pas pleurer comme ça Aujourd'hui c'est pour toi Que nous sommes venus
Ne dis rien si tu veux Mais sèche un peu tes yeux Et ne crois pas surtout Que nous autres on s'en fout Tu sais pleurer ça sert à rien Laisse un peu dormir ta peine Dans un coin
Faut pas pleurer comme ça Pleurer pour qui pour quoi Pour quelques souvenirs Pour quelques mots d'amour Jetés dans une cour Et qui s'en vont mourir
Ne dis rien si tu veux Mais sèche un peu tes yeux Et ne crois pas surtout Que tes larmes on s'en fout Tu sais pleurer ça sert à rien Laisse un peu, laisse un peu Dormir ta peine dans un coin
Faut pas pleurer comme ça Demain ça sera toi Qui sauras nous parler Quand tu viendras nous voir Tu pourras nous faire croire Que tout peut s'oublier Mais pour l'instant tais-toi Pour parler on est là Et ne crois pas surtout Que nous autres on s'en fout Tu sais pleurer ça sert à rien Laisse un peu dormir ta peine Dans un coin.[/rp] (merci à Daniel Guichard)
- Aleen a écrit:
- Aleen aimait à venir, pourquoi se dit-elle les plus beaux sont si tristes ! Après tout l'être aimé est parti, la belle affaire ! est-ce que ça vaut la peine de pleurer ? tout en fouillant dans les parchemins elle en dénicha un qui lui plut...
Il passa
Il passa, J'aurais dû sans doute Ne point paraître en son chemin ; Mais ma maison est sur sa route, et j'avais des fleurs dans la main.
Il parla : j'aurais dû peut-être Ne point m'énivrer de sa voix ; Mais l'aube emplissait ma fenêtre, Il faisait avril dans les bois.
Il m'aima : j'aurais dû sans doute N'avoir pas l'amour aussi prompt ; Mais hélas ! quand le coeur écoute, c'est toujours le coeur qui répond.
Il partit : je devrais peut-être ne plus l'attendre et le vouloir ; Mais demain l'avril va paraître, et, sans lui le ciel sera noir
(hélène Vacaresco)
Voilà ma belle bien fait pour toi pensa t-elle, la prochaine fois agis comme un homme, prends du plaisir et ne te pose pas de question !
- Loulilidy a écrit:
- Lou à son tour pénétra ce lieu où tant de jolis mots accrochés par les uns et les autres faisaient une guirlande ...Elle accrocha le sien tout contre les autres :
[rp]La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur
La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur, Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne et sûr, Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu, C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.
Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseau du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs,
Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l'innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards.
Paul Eluard [/rp]
Quand l'amour vous fait chavirer à tel point que l'on tombe si loin , dans les abysses de son coeur , juste par le regard si doux de cet homme ... quote="Aleen"]Le lieu était couvert de manuscrits, certains anciens même très anciens dissimulés sous une couche de poussière, d'autres beaucoup plus récents. Aleen fit tomber un parchemin, le déchiffra, il n'était pas triste......mais cette impression de "déjà vu " elle l'avait ressenti parfois
Il est un air pour qui je donnerais Tout Pierre Fontaine, tout da Piacenza et tout Josquin des Près, Un air très vieux, languissant et funèbre, qui pour moi seule a des charmes secrets !
Or, chaque fois que je viens à l'entendre, De quelques siècles mon âme rajeunit... C'est sous Charles VII, et je crois voir s'étendre Un coteau vert, que le couchant jaunit,
Puis une forge de brique à coins de pierre, Aux vitraux teints de rougeâtres couleurs, Ceint de grands parcs, avec une rivière Baignant ses pieds, qui coule entre des fleurs :
Puis un homme à sa haute fenêtre, Blond aux yeux bruns, en ses habits anciens, Que, dans une autre existence peut-être, j'ai déjà vu..... et dont je me souviens !
(librement adapté. Merci à Gérard de Nerval)
30 octobre 2010 - Emmeraude_desiris a écrit:
- [i]Se promenant en ville, elle arriva devant la salle des arts de Nevers. Elle aimait ce genre de lieux ou le calme et la tranquillité dominait. Cela lui rappela avec plaisir mais non sans douleur, un temps désormais révolu et lointain...
Elle s'installa, sortit une plume et recopia de mémoire un poème qu'elle avait lu quelques temps auparavant et qui lui rappelait son Ombre...
[rp]Le sourire
Au départ doucement les commissures se creusent, là s'entrouvre la bouche, la moue est facétieuse . Puis deux plis réguliers ici prennent leurs aises mettant l'extrémité des lèvres en parenthèses.
Les pommettes sont gagnées par cette mutation, Se haussant légèrement : C'est la révélation. Elles accentuent ainsi un tout si délicieux, que conclut désormais le plissement des yeux.
Les sourcils se soulèvent dans un tempo parfait, l'ensemble avec charme prend un air étonné , et dans leurs écrins blancs , alors deux pierres fines, achèvent le tableau d'une retouche ultime.
Provoquer ce ballet fragile et délicat paraît tout naturel et pourtant ne l'est pas. Et pour celui qui sait éclairer ce visage, ce sourire en retour est le plus beau message.
[Merci à Christian Guibert] [/rp] quelque transport qui vous agite, Ne pardonnez qu'avec effort : Un pardon accordé trop vite Semble permettre un nouveau tort, que le mépris seul vous anime, Si l'on blesse encor votre coeur ; Un second outrage est un crime, Un premier peut être une erreur .... (C.M. de SALM-DYCK)[/quote] - Valeryane a écrit:
- Jo avait croisé La petite Line au lavoir elle apprenait à faire la lavandière, la petite Line posait de multiple question comme tout enfant, Jo aimait bien discutait avec car elle se souvenait elle aussi entendre les lavandière discuter et elle se posait multiples questions sur plein de chose..Line était accoudé sur le rebord et me regardait toute interrogative
Dis Jo tu sais ce qu'est l'amour toi tu es grande tu peux m'expliquer?
Un grand sourire s'afficha sur le visage de Jo car elle savait ce que ce sentiment voulait dire..
Et bien ma petite Line je vais te le dire avec mes mots..
L'amour c'est...
Quand ton coeur tape trés fort au moment ou tu croise le regard de l'être aimé.. Regarder chaque geste de l'autre et le moindre détail de ses expressions pour les imprimer. Partager de doux moment de tendresse et de grand moment de rire Construire une vie comme si tu étais dans un magnifique château dont tu serais la princesse aimée de ton prince Se donner confiance et savoir être là à chaque moment de la vie Savoir pardonner les erreurs de chacun Tenir la main de celui que tu aimes dans les bons et mauvais moment Avoir quelques moment de folie partagés Se croisé le regard et se comprendre sans dire mot Donner à l'autre tout l'amour que tu as Aimer et être vrai Savoir prendre et donner Rester toi en toute simplicité Ne jamais lâcher prise
Mais l'amour ma petite Line si cela te parait si doux et beau peut être aussi un sentiment qui fait mal, il peut tout te donner et peut tout te reprendre c'est pour cette raison que d'aimer il est plus facile de le dire que de le prouver, mais quand tu rencontrera celui qui fera battre ton coeur des que ton regard croisera le sien, alors tu comprendra ce que aimer voudra dire..
Tu auras le coeur qui bat vite Tu ne pensera qu'à lui Tes nuits seront agités en pensant à lui Tes joues rougiront de ses doux mots Tes jambes trembleront Mais vos baiser seront vous faire comprendre combien vous vous aimez
Et quand mon regarde croise l'élu de mon coeur alors je ne suis plus que douceur
Voila ce qu'est l'amour petite Line.
Jo regarda la jeune Line qui était le regard perdu dans l'horizon elle était déjà en train de rêver à ses futurs amours de jeune damoiselle.. 27 NOVEMBRE 2010 - Beatritz a écrit:
- Le Duchesse vint, comme rarement elle le faisant, déposer quelques mots à la maison des arts. C'étaient les réminiscences d'une lointaine promenade vers Paris, vers les plaisirs, vers la gloire, et la plus grande douleur qu'elle eût à vivre : celle du coeur.
[rp]La route
D'Auxerre, à mi-chemin, ils trouvèrent la Seine, Son eau noire et paisible aux mille et un détours, Le brouillard matinal, le pays alentour, Et ce courant normand qui au loin vous entraîne.
Dans un trou d'eau bleu-vert, le lit d'une morène Sur laquelle est posée, dès que se point le jour, Celle qui de son chant se croit bœuf de labour, Cette bondissante et viride fraîche raine.
Parfois il arrivait que les six chevaux bais, Face à quelque danger, ruent ; même ils regimbaient, Ce qui de petits bonds secouait l'attelage,
Qui embardé soudain, filait à travers bois, Et peu s'en faudrait lors qu'ils ruent jusqu'à l'Aubois ! L'inconfort est certain en un tel voiturage.[/rp]
[rp]Le patenôtre
De ses gants la Duchesse, impatiente égraine, Son patenôtre de calcédoine à rebours Assise sagement dans ses riches atours, Murmurant pour sa mère une tardive thrène.
Car cette enfant ferait dans un jour son étrenne D'un legs de sang fort bleu, et qui pèse fort lourd : Dans un jour Béatrice entrerait à la Cour Dont elle espère un jour être la souveraine.
Cette très orgueilleuse obsession l'inhibait Et son regard portant sur les serfs qui tourbaient, Sur les errants nuages, ou tel bruyant flottage,
Son nez fleurant là bas une biche aux abois, Sa voix priant tout bas, et son visible émoi Tenaient au silence ses amis de voyage.[/rp]
[rp]Le rêve
Elle rêvait déjà, du bal, de son potage, Du rôt, second service, et de ce qu'on y boit, Se figurait une tarte aux mûres des bois, Qui serait la suite à de grands plats de fromage.
Il coulerait dans des gosiers de haut parage, Accompagnant des assiettes d'or qui giboient, Vin d'arbois tourangeau, vin de paille d'Arbois, Pour abreuver ce monde au si brillant lignage.
- Emmaline a écrit:
- Emma revint en ce jour frisquet de décembre faire un tour a la maison des arts.
Le givre recouvrait la ville,la nature blanchie inspirait la Dame de St Leger sur Dheune . Elle trouva plein de nouveaux poémes accrochés et se dit qu'il allait falloir qu'elle les emméne rapidement a l'académie des arts du village avant qu'il n'y en ait trop. Elle lut les poémes laissés par la Duchesse de Castelmaure et les trouva admirables .Emma ne savait malheureusement pas ecrire ainsi . Elle accrocha malgré tout une poésie qu'elle aimait beaucoup car elle esperait qu'elle refletait ce que serait sa vie plus tard,
pour nous - Citation :
- L'éternelle chanson
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs, Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille, Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants. Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête, Nous nous croirons encore de jeunes amoureux, Et je te sourirai tout en branlant la tête, Et nous ferons un couple adorable de vieux. Nous nous regarderons, assis sous notre treille, Avec de petits yeux attendris et brillants, Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs.
Sur notre banc ami, tout verdâtre de mousse, Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer, Nous aurons une joie attendrie et très douce, La phrase finissant toujours par un baiser. Combien de fois jadis j'ai pu dire " Je t'aime " ? Alors avec grand soin nous le recompterons. Nous nous ressouviendrons de mille choses, même De petits riens exquis dont nous radoterons. Un rayon descendra, d'une caresse douce, Parmi nos cheveux blancs, tout rose, se poser, Quand sur notre vieux banc tout verdâtre de mousse, Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer.
Et comme chaque jour je t'aime davantage, Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain, Qu'importeront alors les rides du visage ? Mon amour se fera plus grave - et serein. Songe que tous les jours des souvenirs s'entassent, Mes souvenirs à moi seront aussi les tiens. Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacent Et sans cesse entre nous tissent d'autres liens. C'est vrai, nous serons vieux, très vieux, faiblis par l'âge, Mais plus fort chaque jour je serrerai ta main Car vois-tu chaque jour je t'aime davantage, Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain.
Et de ce cher amour qui passe comme un rêve, Je veux tout conserver dans le fond de mon coeur, Retenir s'il se peut l'impression trop brève Pour la ressavourer plus tard avec lenteur. J'enfouis tout ce qui vient de lui comme un avare, Thésaurisant avec ardeur pour mes vieux jours ; Je serai riche alors d'une richesse rare J'aurai gardé tout l'or de mes jeunes amours ! Ainsi de ce passé de bonheur qui s'achève, Ma mémoire parfois me rendra la douceur ; Et de ce cher amour qui passe comme un rêve J'aurai tout conservé dans le fond de mon coeur.
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs, Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille, Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants. Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête, Nous nous croirons encore aux jours heureux d'antan, Et je te sourirai tout en branlant la tête Et tu me parleras d'amour en chevrotant. Nous nous regarderons, assis sous notre treille, Avec de petits yeux attendris et brillants, Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs.
poéme de Rosemonde Gerard je t'aime mon Bramus,et j'espere pouvoir te le déclamer encore lorsque tu seras vieux et que je serai vieille .
- Angelina1 a écrit:
- Angel arriva a la maison des arts , on lui en avait parlée , mais elle ne voulais pas que qui que ce soit sache ce passée qu'elle cachait en elle , elle déposa son écrit :
[rp]Je me souviens de ton regard triste , mon fils. Tu aurais tant voulu le voir revenir, Moi, je l'ai regardée partir, Je n'ai rien pu faire pour le retenir, Je me doute la peine que tu as du ressentir.
Je me souviens de cette époque mon fils, Nous nous sommes retrouvé tout les deux, Nous cachions notre peine a ceux, Qui ne pouvais comprendre l'amour merveilleux, Que nous avions véçue tous les trois si peu.
Je voudrais mon fils, Qu'a présent cesse nos larmes, Que reviennes notre charme, Notre sourire angèlique, Nos histoires féerique, Juste pour oublier son absence mon fils.
Poême d'Angel a son fils disparu.[/rp]
Angel sortis , les larmes de haine lui coulant le long des joues. 17 decembre 2010
- Jeannedereal a écrit:
- Jeanne revint sur ces lieux qui quelques mois avant était pour elle triste.
Cette fois c'est toute heureuse, elle déposa son poème.
.[rp]Toi, qui m'attires. Toi, qui par ton parlé et ton sourire, M'as plu dès la première fois, Et espéré, qu'il y aura en d''autres lieux, plein de fois.
J'aimerais te dire que tu me plais. Te faire savoir que je suis moi, dès que je suis près de toi. Et que j'aimerais que tu restes toujours avec moi.
À quoi ça sert de me battre, ceci est un vrai tour d'acrobate. Je suis sur une corde raide, et, je voudrais que tu m'aides.
Mon cœur est en balance. Ta voix est comme une lance. Tu l'as projeté jusqu'au dedans, dans mon corps, tu as atteint mon cœur.
Toi, qui m'émerveilles. Qui m'élèves jusqu'au ciel. Comme un oiseau, je me poserai dans tes lieux .[rp][/rp]
Chair prisée de murène et huîtres de Marennes Des poissons qui côtoient la volaille ; la drenne, Farcie bien grassement à la pomme rambour,
Qui dans la vigne, avant, allait et cacabait, Qui les grains de raisin, d'un coup d'un seul, gobait, La voilà affrontée, dans un plat, à un tourd ![/rp]
[rp]Montfaucon
Elle voyait les danses, caroles et loures, C'était à son oreille un grelot, une draine, Car de ce monde en fleur, elle se voulait reine, éveillée à l'aube au grondement des tambours.
Et la Castelmaure en sa robe en velours, En chaleur en voiture en son épaisse traîne, Ne voulait que fort peu : juste qu'on la comprenne, Ailleurs qu'en rêveries, où elle vécut toujours.
Quand enfin s'éclipsa le songe des hautbois, Le cortège achevait la traversée d'un bois Qui débouchait sur un parisien mirage :
Bientôt à l'horizon de multiples gibets, Tentacules d'un monstre de mort au rabais. Béatrice revint aux dits de l'entourage.[/rp] - Grosjmc a écrit:
- Le coeur emplie de sentiments etranges la plume de jean marc a tracé ces courbes inscrit ses mots.. celle a qui ils sont dédiés, seule en connait le sens vrai.
[rp]Dans mon cœur, j'ai trouvé une fleur délicate et fragile, bien a l'abri des regards sous un saule pleureur un matin parmi les herbes d'un pré fleuri...
elle est invisible, inaccessible exhalant une senteur imperceptible seules ses pétales frémissent sous le vent souffle chaud et passionnés de sentiments
elle ne s'ouvre pour personne, en sommeil sa douceur ne se ravive qu'au soleil j'arrive avec mon sac de merveilles et la survole comme une abeille
elle grandit évolue en secrets successifs prenant ca et là comme elle prends a la terre éprouvant telle le fait la mer frappant un récif ce don du plaisir qui n'a aujourd'hui rien d'éphémère
elle délivre ses émois, ses senteurs exprime ses faiblesses, ouvre son cœur emportée par les caresses envoutantes de l'homme cet astre a la chaleur rayonnante
elle s'ouvre pour moi seul toute en candeur car je le sais maintenant dans chaque jardin secret il existe toujours un bouquet de fleurs mais une seule a conquis mon cœur... a jamais[/rp]
(inspiré d'après une texte d'Italogreco) - Jeannedereal a écrit:
- Jeanne avait vu Jean-Marc entré à la maison des arts, elle attendit qu'il en ressorte et se faufila à l'intérieur pour voir le parchemin qu'il avait laissé.
Elle lu son poème et en eu les larmes aux yeux. Elle s’installa au bureau et écrivit à son tour.
[rp]Tout a commencé quand nos regards se sont croisés, Tu as renversé mon coeur, tu l'as fait chaviré. Un vent d'amour m'a fait perdre la tête Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête. Notre amour grandit de jour en jour Je te laisse entrer et ferme mon coeur à double tour.
Tout devient beau et merveilleux Quand je vais me noyer au large de tes yeux. Des sentiments encore ignorés se sont crées Il faut les conserver et ne jamais les briser. Dans tes bras je pars m'envoler Dans un monde doux et sucré.
La flamme de mes yeux s'est allumée Le soir ou nos lèvres se sont touchées. Aujourd'hui le destin nous appartient À nous seul de savoir prendre le même chemin. Mon amour pour toi est le plus grand Je n'ai aucun doute sur mes sentiments.
Je t'aime.[/rp] - Angelina1 a écrit:
- Je l'avais donc rêvée,
Je n'aurais pas du pensée, Que tu disais la véritée , A présent me voilà encore blessée.
J'ai pensée restée, J'ai pensée t'aiméé, J'ai voulue ici m'installée , Et a tes coté restée.
Comment j'ai pu y croire, Comment n'ai je pas su voir, Que ceci était un rêve.
3 janvier 2011 - Loulilidy a écrit:
- Lou avait croisé Angelina qui repartait , Lou venait en ce lieu apporter un message pour celui qui occupait ses pensées et son coeur :
- Jeff. a écrit:
- Jef entre et écris pour celle qu'il aime
Ce matin on est deux, mon reflet dans tes yeux, Allongée près de moi, lentement tu t'éveilles à mes côtés Mes regards en disent long car les mots viennent à me manquer.
Et si je te disais à quel point je t'ai dans la peau, Et si je te demandais sur une vie quels sont tes dispos Tout ces moments que l'on vie je les ai rêvé cent fois.
Je rêvais d'une maison je l'ai trouvé dans tes bras, Ce qui reste des saisons, je veux le passer avec toi. Comme l'impression d'être né pour ça
Comme l'impression d'être né pour toi
Ne me demande pas pourquoi je t'embrasse en tremblant, J'ai besoin de toi comme un cœur a besoin d'un battement, Toute ma vie je t'ai voulu et maintenant je t'ai devant moi.
(My boo) Juste un sourire que je me sente pousser des ailes, (My boo) Juste un je t'aime et pour toi j'gravirai l'Everest (My boo) Donne-moi ton air que je respire, regarde-moi que je m'inspire.
Accroche-toi, me lâche pas et si je tombe relève-moi Je veux t'aimer, grandir et avancer avec toi Comme l'impression d'être né pour ça
Comme l'impression d'être né pour toi
Merci M pokora Je te promets le sel au baiser de ma bouche Je te promets le miel à ma main qui te touche Je te promets le ciel au dessus de ta couche Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets la clé des secrets de mon âme Je te promets ma vie de mes rires à mes larmes Je te promets le feu à la place des armes Plus jamais des adieux rien que des au-revoirs _______
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent J'te promets une histoire différente des autres J'ai tant besoin d'y croire encore
Je te promets des jours tout bleus comme tes veines Je te promets des nuits rouges comme tes rêves Des heures incandescentes et des minutes blanches Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches
Je te promets mes bras pour porter tes angoisses Je te promets mes mains pour que tu les embrasses Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir J'te promets d'être heureux si tu n'as plus d'espoir ______
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent J'te promets une histoire différente des autres Si tu m'aides à y croire encore
Et même si c'est pas vrai, si on te l'a trop fait Si les mots sont usés, comme écris à la craie On fait bien des grands feu en frottant des cailloux Peut-être avec le temps à la force d'y croire On peut juste essayer pour voir
Et même si c'est pas vrai, même si je mens Si les mots sont usés, légers comme du vent Et même si notre histoire se termine au matin J'te promets un moment de fièvre et de douceur Pas toute la nuit mais quelques heures
Je te promets le sel au baiser de ma bouche Je te promets le miel à me main qui te touche Je te promets le ciel au dessus de ta couche Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
( Merci à Jonnhy Hallyday ) | |
| | | emma
Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
| Sujet: Re: salle de lecture Ven 11 Mai - 12:02 | |
| - Jeff. a écrit:
- Jef entre et écris pour celle qu'il aime
Ce matin on est deux, mon reflet dans tes yeux, Allongée près de moi, lentement tu t'éveilles à mes côtés Mes regards en disent long car les mots viennent à me manquer.
Et si je te disais à quel point je t'ai dans la peau, Et si je te demandais sur une vie quels sont tes dispos Tout ces moments que l'on vie je les ai rêvé cent fois.
Je rêvais d'une maison je l'ai trouvé dans tes bras, Ce qui reste des saisons, je veux le passer avec toi. Comme l'impression d'être né pour ça
Comme l'impression d'être né pour toi
Ne me demande pas pourquoi je t'embrasse en tremblant, J'ai besoin de toi comme un cœur a besoin d'un battement, Toute ma vie je t'ai voulu et maintenant je t'ai devant moi.
(My boo) Juste un sourire que je me sente pousser des ailes, (My boo) Juste un je t'aime et pour toi j'gravirai l'Everest (My boo) Donne-moi ton air que je respire, regarde-moi que je m'inspire.
Accroche-toi, me lâche pas et si je tombe relève-moi Je veux t'aimer, grandir et avancer avec toi Comme l'impression d'être né pour ça - Grosjmc a écrit:
- Le coeur empli de sentiments jean marc qui n'avait jamais écrit de vers trouvait les mots sans les chercher...il avait besoin de dire au monde entier comme il l'aimait, si il avait pu le faire il l'aurait crié...
[rp] Auprès d'une femme jolie mille désirs rendent muet, Par le plaisir l'âme est remplie, on ne sait plus ce que l'on est. (A.Ricard)
Jeanne, je t'aime sous ce soleil blafard Trouver l'Amour c'était un hasard, le partager c'est maintenant un plaisir mais je souffre, car je t'aime a en mourir
le vivre vrai c'est pour nous deux l'espoir secret ou un grand vœu Le réaliser ce jour c'est un bonheur parce que je t'aime avec mon cœur
Nous deux c'est l'amour infini alors faut s'aimer sans se questionner faudra oublier tous nos soucis pour vivre cet Amour en entier
Nous allons croiser nos petits doigts souhaiter que nos vies le supportent savoir que ce sera très fort a chaque fois mais quand je viendrais toquer a ta porte ce sera bien plus fort que toi et moi ...
Oui, je t'aime sans grand discours c'est juste que je t'aime tout court !!! (Jm)[/rp]
- Jeannedereal a écrit:
- [rp]Toi, dans un matin d'automne;
Avec un simple baiser à conquis mon coeur, À changé ma vie d'un ton monotone, Et me fais vivre le bonheur!
Aujourd'hui, malgré les interdits, Et la distance "Je t'aime" Je rêve, avec toi de faire ma vie, Et comme pour un Roi être ta Reine !
Le matin, je pense à toi, Toute la journée, j'ai envie d'être dans tes bras Mes pensées et mon coeur sont à toi, Ma vie ne rime à rien sans tes bras !
Depuis, que tu es entré dans ma vie, Tu me la fais découvrir en rose, Tu as fait renaître mes rêves et mes envies Mon coeur devant toi, est en pause.
Tu m'es plus précieux que l'or, Je te veux pour l'éternité. Je t'aime, je t'adore, Tu me combles de ta gentillesse mon bien aimé ! [rp][/rp]
Jeanne accrocha son poème à coté de celui de Jean-Marc. 10 janvier 2011
- Fantou a écrit:
- Fantou ce matin s'éveille près de son amour, son Flavienus et le regarde dormir, son coeur se gonfle de tendresse, elle contemple son visage, son corps abandonné dans le sommeil. Prenant garde à ne pas l'éveiller elle se lève et sort dans le matin frileux.
Elle dirige ses pas vers la Maison des Arts , elle l'a repérée en arrivant.... Elle s'installe et lit les poèmes de ceux qui l'on précédée et y découvre quelques belles plumes. Elle sourit à certains dont la douceur la touche, et se dit que l'amour inspirera toujours les hommes et les femmes.
Elle fouille sa besace et sort son nécessaire d'écriture puis elle dépose son petit bout de vélin qu'il soit la trace de leur passage !
DANS TES BRAS..
Lorsque tu es dans mes bras Je sens ton souffle dans mon cou Je sens tes lèvres sur ma joue Je sens tes doigts dans mes cheveux fous
Lorsque tu es dans mes bras Je n'ai plus que toi d'horizon Je ne connais qu'une seule raison T'aimer jusqu'à la déraison
Lorsque tu es dans mes bras J'écoute battre ton coeur Je m'abandonne sans pudeur J'oublie toutes mes peurs
Lorsque tu es dans mes bras Nous sommes seuls au monde Tes yeux les miens sondent Nos lèvres, nos mains se répondent
Lorsque tu es dans mes bras Je vis, je ris, je gémis, je pleure J'oublie le temps et les heures Que l'amour en nous demeure Comme l'impression d'être né pour toi
Merci M pokora - Jehan_marcus a écrit:
- Jehan ne pouvait passer à Nevers sans visiter la Maison des Arts de la Halle.
Il sortit de sa besace son luth et le texte d'un joli lai reçu de son ami Thoinot Arbeau de Langres :
[rp]
Belle qui tiens ma vie Captive dans tes yeux, Qui m'as l'ame ravie D'un souris gracieux, Viens tot me secourir Ou me faudra mourir.
Pourquoi fuis tu, mignarde, Si je suis pres de toi Quand tes yeux je regarde Je me perds dedans moi, Car tes perfections Changent mes actions.
Tes beautes et ta grace Et tes divins propos Ont echauffe la glace Qui me gelait les os, Et ont rempli mon coeur D'une amoureuse ardeur.
Mon ame voulait etre Libre de passion, Mais l'amour s'est fait maitre De mes affections Et a mis sous sa loi Et mon coeur et ma foi.
Approche donc ma belle, Approche toi mon bien, Ne me sois plus rebelle Puisque mon coeur est tien, Pour mon mal appaiser Donne moi un baiser.
Je meurs, mon Angelette, Je meurs en te baisant Ta bouche tant doucette Va mon bien ravissant A ce coup mes esprits Sont tous d'amour epris.
Plutot on verra l'onde Contremont reculer, Et plutot l'oeil du monde Cessera de bruler, Que l'amour qui m'epoint Decroisse d'un seul point. [/rp]
Il s'installa sur un tabouret, et après avoir accordé son luth et sa voix... son chant monta clair dans le matin de Nevers :
18 janvier 2011 - Grosjmc a écrit:
- Passant par ce lieu où tout les mots parlent en silence Jean marc se recueillait la plume a la main...mal dans sa tête et mal dans son cœur...
Qu'est-ce que l'homme dans la nature ? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout. (Blaise pascal)
[rp]Vivre libre mais vivre de loin te tenir doucement la main être a tes cotés quand tu es triste et partir enfin sur la bonne piste se diriger sur le même chemin prendre la grande direction ensemble ne pas s'occuper des piètres vélins décider et choisir ce qui nous rassemble et de quoi sera fait notre lendemain
Vivre libre et le vivre de loin rire ensemble pour être si bien se bruler le cœur au fer rouge attendre bêtement que le monde bouge pour partir sans jamais revenir ne pas savoir comment se décider il n'y a rien de plus dur a accepter que d'être si loin de l'être aimer attendre toujours et encore se languir
Vivre libre mais surtout survivre ne pas trouver les justes mots pour quitter ceux qui ignore tout de ce que seule la tendresse peut apporter demain encore sans imaginer tous les maux que l'Amour vrai fait subir a ceux qui aime cette caresse et ne peuvent jamais le dire
Vivre libre d'aimer vivre ne donne a cette histoire qu'un fond bizarre et bien noir a cette passion bien impudique née vraiment sans intention de faire du mal a l'occasion d'un rêve de fous qui se trouve aujourd'hui bien pragmatique bientôt ici je vous le prouve et pourtant je ne suis pas ivre
Vivre libre l'infini du néant entre le grand ciel et la terre faire son choix en tremblant ne pas savoir comment faire prendre sa main doucement et partir a jamais pour une vie sans se retourner vers le passé devenir vraiment tout petit aux yeux de ceux a qui l'on ment aimer c'est un profond sentiment
Jmc pour elle..[/rp] - Loulilidy a écrit:
- Lou ce matin là passait d'un pas alerte devant la maison des arts , elle entra et les mots vinrent s'inscrire du bout de sa plume :
[rp] Chanson de la vie
A celui qui demande Ce qu’est donc l’existence
Je dis c’est l'explosion de ton rire Dans la nuit étoilée C'est un enfant qui vient le cueillir dans la voie lactée .
C'est une rencontre, surprenante Qui fait battre ton coeur , radieux; une étoile, la plus brillante qui brille au fond de tes yeux Une image à jamais gravé dans ta mémoire Ses yeux qui ne parlent que d'amour tu en prendrais ton mouchoir, tellement c'est beau , et toujours Espérer voir ses yeux s'éclairer de la sorte Espérer chaque matin y lire cet amour...
C'est la vie qu'on croque à belle dents C'est les petits plaisirs qui font les bons moments C'est un feu dans la cheminée chaud et réconfortant C'est des fleurs qui reviennent chaque printemps Pour un rendez - vous dans un parc verdoyant C'est une pluie d'été , un vent frais au bord de l'océan Les feuilles en automne qui tournoient emportées par le vent
C'est une petite main au creux de la mienne Une petite main , qui ne demande qu'à découvrir le monde Je la prends et la serre tendrement, je l'emmène J'aimerais tellement que cette petite main fasse une belle ronde Lovée au creux de la mienne , pour une vie de reine ...[/rp] - Jeannedereal a écrit:
- [rp]Notre navire vogue à la dérive
Bousculé par le vent qui font craindre le pire Je sais que nous avons peur Que les vagues harcèlent nos cœurs
Nous ne sommes pas le Dieu des vents Nous n'avons rien des conquérants Nous sommes nous, tout simplement Mais avec un cœur si grand
Donnons nous une chance Vivre des peines apporte des récompenses Si c'était nous notre romance Ça vaut le coup qu'on y pense
Ouvrons grand nos bras La tempête se calmera Entendre ta voix me dire je t'aime A pour effet, me rendre sereine [/rp] 10 mars 2011 - Emmaline a écrit:
- Emmaline malgré le travail a la mairie trouvait le temps bien long,son bien aimé etait tres occupé sur les remparts et aux champs;tous deux ne se voyaient que tres peu et toujours en coup de vent .
Elle eut envie de prendre sa plus belle plume de la belle encre et de lui ecrire un poéme pour lui dire combien elle l'aime
Pour toi
[rp]Tu me manques
Tu me manques, encore plus chaque jour A tous nos moments, à tout ton amour Tu me manques, je te le dis sans détour Et je le répéte encore ,encore et toujours
Tu me manques, j'aime ton charme, ta douceur Je passe le temps à compter les heures Tu me manques, ton absence est ma douleur Tu es le gardien de mon bonheur
Tu me manques, du matin jusqu’au soir Je me nourris à l’idée de te revoir Tu me manques, il faut vraiment croire Que sans toi je me languis dans le noir
Tu me manques, comment puis-je le dire J’attends ton retour et pousse un soupir Tu me manques, quand je commence à frémir Serait-ce toi que j’entends revenir
Tu me manques mais l'espoir de jours meilleurs, Me font garder patience au milieu de mes fleurs Tu me manques,mais je sais que trés bientot Tu reviendras pour toujours ,toi mon plus beau cadeau
je t'aime[/rp] - Bramus a écrit:
- Bramus etait emu des mots tendres d'Emma il s'assit devant sa table attendant l'inspiration puis se mit a ecrire d'un trait
Si j'avais a t'écrire Mon ange, je te dirais Combien tes doux sourires Me laisse souvent muet
Et je te parlerais De ta voix caressante Son univers d'effets Ses vertus bienfaisantes
Je voudrais t'exprimer De façon explicite Pourquoi ton être entier Mon amour s'y abrite
J'inventerais les mots De la langue de mon coeur Car ceux de mon cerveau Ne sont a ta hauteur
je t'aime - Selenae a écrit:
- Sélénaé se baladait dans les rues de Nevers, les rues étaient agitées à cette heure ...Puis au loin une enseigne "La Maison des Arts" c'était pour elle ça. La jeune femme s'en approcha, poussa la porte, découvrit une belle salle, où quelques poèmes étaient accrochés...Elle fouilla dans son baluchon, en sortit deux poèmes récents et les fixa sur le mur ...
[rp]Amoureusement Nous
J'irai chercher vos parfums dans un creux traversin A frôler votre corps sous l'accent de mes mains Et l'arrogance de vos rondeurs impudiques Vos frissons à l'odeur de vos lois euphoriques
Caressante, impatiente, de vos envies non feintes Nous offrant tout ceci sous d'espiègles étreintes Et sous ce doux duvet que nos deux corps se cambrent Chaloupent deux calbombes* aux senteurs de l'ambre
Capiteuses lueurs où nos ombres s'affolent Agaçants, alléchants quand vos mots m'affriolent ! Regarder, ciseler vos sens en train d'éclore Et voir perler vos pores comme une cascade d'or
Au matin Sur le drap de satin que l'amour à froissé Vos effluves d'une veille insolente, rassasiée Et là l'oubli d'un baiser, un doigt de délice Une cerne à vos yeux, votre regard complice
Merveilleuses blandices* les gardant aux secrets D'une alcôve sibylline enfermée au coffret A s'en remettre au ciel à claquer ses persiennes Et d'un ciel étoilé que nos envies reviennent.
Sélénaé De Coulanges
(Pour vous)
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Entre vos Fugues
Vous êtes une rencontre que je ne peux exiler
Dessinez-moi un rêve où prime le délice Où le croquis d'un songe, le rubis d'un poème Une ode, une élégie, vous, mon unique Bohème Imprégnez-moi de vos succulentes épices
Vous êtes une présence que je peux exciper*
Couvrez-moi de luxure, submergé d'impudence Vous l'intrépide triqueur* ourdi de vertiges Mon opportun, mon pilleur gougé de prestiges Clouez-moi sur le revers de votre indécence
Vous êtes un rendez vous que je ne peux excuser
Sur votre boutonnière, en cueillir cet œillet Il devient une ortie, piqué de solitude Et j'injurie vos fugues remplies d'incertitudes Elles me tuent d'un désir, d'une once d'un billet
Sélénaé De Coulanges
Pour vous
Poème sans A [/rp]
Voilà...Elle se recula, admira les quelques autres poèmes déjà déposés...Elle se dit qu'il fallait reprendre sa route, maintenant à quelques lieux de son homme qui devait piétiner d'impatience... Depuis Eauze la fatigue commençait à se faire sentir, elle avait hâte d'arriver..Avant elle irait peut-être s'abreuver dans une de ces tavernes ouvertes .... - Angelina1 a écrit:
- Angel déposa son poème ..seul lui pouvais le comprendre...
[rp]Quand on crois tout avoir, Quand on a de nouveau cet espoir, On perd un être cher sa mère... On perd ce qui compte le plus pour une mère, Sa propre fille...tombe alors tout son univers..
On a plus gout a rien, On ne pense plus au lendemain, On ne veux pas en parler, On se fais oublier.
C'est alors que l'on se rend compte, Que son amour ne s'estompe, Aucunement pour lui, Qu'elle aimait vraiment pour la vie...[/rp] - Selenae a écrit:
Sélénaé de retour pour quelques heures à Nevers eut envie de re-déposer un de ses écrits, dans la salle des Arts...
.................................
[rp]APRÈS LES MAUX… CHUUUUUT…!
. Il y avait le gris d’un ciel fourbe et mauvais Et des amours anciennes que mon âme dégorgeait. Il y avait le temps à l'orage redondant Et puis des soirs d'hiver à mon corps défendant Il y avait des heures en abîme de jais Et des angoisses dures que mon cœur réprouvait... Il y avait tant de vide que plus rien ne peuplait lors, je fermais les yeux sur le monde et glissais...
Et puis... le jour d'après... A l'abri des mirages d'un monde sans apprêt... Le ciel de connivence se défit de ses voiles... Exhibant à mes peurs sa lumineuse étoile Quand ton souffle délicat révoqua mes regrets D'une caresse à mon cou, mon prodigieux varlet...
Il y avait Le sombre des jours de pluie sans lune... - Chuuuuut... Et les couvertures froides que le manque dépeça... Il y avait l'odeur de mes mains sur mes dunes... - Chuuuuut... Et les matins absurdes où je cachais mes draps... Et je hurlais des ires à me faire en mourir... Lors mes chagrins pleuvaient en cascades sur mes bras. Et j'entendais des rires en écho à me ires, Quand j'adjurais les anges de m'étendre ici-bas...
Et puis... le jour d'après... - Ne dis rien Il y eut toi ....
Pour vous
Sélénaé De Coulanges[/rp] 9 avril 2011 - Jeannedereal a écrit:
- Jeanne était triste de l'absence de Jean-Marc, elle lu et relu les poèmes qu'il lui avait laissé épinglé au mur il y avait quelque temps, bientôt il serait de retour et elle l'attendait avec impatience.
[rp] Seule sans toi... Je suis seule et je m'ennuie...Plus rien n'existe... J'ai fermé mon esprit...Mon ange...tu es si loin... Si loin de moi...Du fond de mon néant... Je ne peux que rêver à tes bras... J'ai si froid entre ces departements... Qui me sépare de toi...
Cette nuit...j'ai mal de ton absence... Je ferme les yeux... Et je rêve qu'on est ensemble tous les deux... Ta voix me manque... En ton silence... Où que tu sois...mon ange... Je te rejoins...Dans mes rêves.. Je peux enfin toucher tes mains... Pour calmer mon chagrin... Et t'entendre à l'instant même... Où tu me dis...Je T'aime... D'un amour infini... Bien au-delà de cette vie ! [/rp] - Arnaud a écrit:
- Cela faisait bien longtemps qu'Arnaud n'était plus venu en ces lieux. Il se dit que ce serait bien dommage d'y passer et de rien y laisser. Il réfléchit donc un instant et prit la plume en pensant à sa belle...
[rp]Comme il me plairait que nous croquions la pomme, Qui ferait de toi ma femme et de moi, ton homme, Lire dans tes yeux comme on parcourt un livre, Tanguer tendrement avec toi comme un bateau ivre. Nous laisser bercer par la plus tendre des danses, Humer tes effluves, envoûté par toi, entrer en transe, Fais-moi oublier tous mes souvenirs pluvieux, Et passons ensemble de nouveaux jours heureux.
Je t'aime... [/rp] 9 juillet 2011 - Ysaura a écrit:
- Ysaura n'était jamais venue dans ce lieu où les villageois et gens de passage venaient y déposer leurs plus jolis mots.
Ouvrant le recueil, elle y reconnu de nombreux noms dont celui de son frère Arnaud. Qu'il était émouvant de lire ces pages.
La jeune femme décida qu'il était temps pour elle d'y laisser aussi quelque chose à l'attention de son bien aimé Darius.
De sa plus belle écriture faite de plein et de déliés elle écrivit sur un parchemin
[rp]Pour toi Darius,
[/rp] - Nayiel a écrit:
- Elle voulait tout montrer a Jolan. Surtout les belles choses. Et ce lieux recelaient de belles choses. Elle n'y était jamais venu, mais le nom portait cela sur lui.
Elle entra la petite pièce, sans hésité, suivit du petit garçon, un peu impressionné. Elle s'approcha du recueil, caressa la couverture de celui-ci, toujours aussi ravie de voir pareil oeuvre. Puis, elle souleva Jolan du sol, et le porta de sorte a ce qu'il puisse voir le livre. Il ne savait pas encore lire, mais Nayièl savait que c'était quelque chose qu'il voudrait apprendre très vite, le connaissant.
C'est quoi? Pourquoi il est tout seul ici ce livre maman?
Ah, parce que c'est un livre très spécial mon coeur. Regarde...
Elle l'ouvrit, et tourna lentement les pages, avec une grande douceur et une infinie précaution, faisant défiler d'innombrables styles d'écritures différents, la plupart inconnus, différentes oeuvres, écrites, poèmes en vers ou en prose, court récit, nouvelle, chanson, ... ou dessiné, petites oeuvres toutes plus belles les unes que les autres. Elle feuilleta les pages jusqu'à apercevoir la dernière remplie et s'arrêta.
Tu vois, c'est un livre écrit par tout le monde. Il est ici tout seul, pour que tout le monde puisse venir le remplir.
Mais, ils écrissent quoi les gens dedans?
On dit: "ils écriVent quoi" mon chéri. Et bien, ils viennent écrire des poèmes la plupart du temps.
Pourquoi? ça sert a quoi dis?
Et bien, parfois, il y a des choses qu'on arrive pas a dire de vive voix, tu comprends? Alors parfois, il est plus facile de les écrire. ça nous fait beaucoup de bien a nous, et puis, ça laisse une trace de nos émotions, de nos sentiments. Tu peux trouver toutes sortes de poèmes ici. Des mots d'amour très touchant, des poèmes plus tristes, d'autre marrant... Regarde, je t'en lis quelques uns...
Et ce fut fait. Jolan écarquilla les yeux en l'écoutant. Il ne comprenait pas tous les mots, mais il trouvait ça joli. Et puis il voyait les yeux de Nayièl pétiller. Elle semblait beaucoup aimer lire...
On en écrit un aussi tu veux?
Oh ouiiiiiii!
Elle rit et prit la plume ainsi que l'encrier et commença a gratter quelques mots, aidé par Jolan qui lui soufflait des idées ou des rimes, plutôt surprenantes ou amusantes. Ne vous moquez pas des premiers vers d'un enfant d'a peine trois ans. L'écriture fut ponctué d'un dialogue comme ceci:
On l'écrit pour qui?
Pour... Mariiiine! et et ... et pour Papa!
D'accord, t'as raison, c'est une super idée! On le commence comment?
Hum... On commence par leur dire de revenir tout de suite avec nous! C'est pas bien qu'ils nous laissent comme ça tout seul
Héhé, ils vont revenir vite, t'en fais pas. Pis on va bien s'amuser tu verras, tant pis pour eux! Bon alors, on commence par... Vous nous manquez déjà dans cette ville de marmotes?! ça te vas? Qu'est ce qui rime avec marmotte?
Crotte!
Euh, non, plus poétique, trouves moi un plus joli mot s'il te plaît...!
Euh, botte!
Oui par exemple. Allez, on commence!
[...]
[rp]Vous nous manquez déjà dans cette ville de marmotte En plus, vous avez oublié à l'auberge vos bottes! Vous me manquez beaucoup dans cette ville de marmote Et en plus, on dirait que Nayièl devient toute idiote!
Elle arrête pas de faire la folle. Elle est bizarre. Pis, il fait même pas beau, y'a du brouillard! Mais on va quand même se baigner dans la grande mare! Dommage quand même, y'a pas beaucoup de canard!
Reviens vite papa! Reviens marine! On est triste sans vous On voulait vous dire qu'on vous aime très beaucoup beaucoup! On pense vraiment tout le temps a vous. Revenez vite, dans notre chez nous![/rp]
Nayièl rédigea rapidement ces quelques mots avec Jolan, tellement fier d'écrire son premier poème. Et Nayièl souriait de le voir ainsi. C'était pas si mal pour un début, même si elle l'avait aidé un peu pour les phrases, ne corrigeant pas, de façon spontannée les fautes de langages qu'il pouvait encore faire a son âge, pour que le poème lui ressemble le plus possible. Ils refermèrent le grimoir, et repartirent visiter Nevers, toujours aussi enthousiaste. - Arnaud a écrit:
- Voilà bien longtemps qu' Arnaud n'avait plus foulé ces lieux mais il ne devait pas être le seul dans le cas car l'endroit semblait déserté depuis un petit moment. Pourtant, la pièce respirait le calme et la sérénité... Relisant quelques compositions recouvrant les murs, il devint nostalgique des temps passés, des amis disparus et décida à son tour de laisser une trace de son passage. Il s'approcha d'un pupitre, prit la plus belle plume qu'il put trouver et tailla celle-ci. Après quelques hésitations, il la trempa dans l'encre couleur sang et laissa parler son coeur...
[rp]Pour Geny, Ma Terre, Ma Promise
Mon esquif s'est échoué au rivage de ta peau Naufragé volontaire sur une île oubliée J'ai foulé ce pays sur la pointe du coeur Mon regard s'est ouvert sur des vallées nacrées J'ai touché de mes mains, terre de douceur Je me suis enivré des parfums les plus hauts
Dans son coeur de verdure, j'ai découvert l'Eden Des torrents de douceur nés de sources de miel Des forêts de tendresse aux arbres majestueux Des oiseaux de légende aux couleurs arc-en-ciel Fruits gorgés de soleil aux nectars capiteux Au milieu de l'atoll, le palais d'une Reine.
Tout en haut du volcan, un coeur ne battait plus Je l'ai pris contre moi pour le gonfler d'amour Je l'ai serré si fort qu'il est entré en moi Il s'est fondu au mien et revit au grand jour Je vivrai pour toujours dans ce pays de rois J'ai fini mon voyage, je ne partirai plus [/rp] 21 septembre - Lolitea a écrit:
- Lolitea passa dans ce lieux assez heureuse de trouvez un endroit ou l'on pouvais y déposez des écrits , elle ne se fit pas priée et s'installa dans un coin pour écrire:
[rp]Pourquoi tant de douleur en moi, Je ne sais si je ressens de la colère envers toi, Pourquoi en suis je suis étonnée, Alors que j'aurais du m'en doutée.
Je ne sais de quoi sera fais demain, Je ne sais pourquoi je vois tremblé mes mains, Je ne sais même plus ce que je veux, Je ne sais pas si un et un font encore deux.
La vie est si étrange parfois, On crois tout avoir pour sois, Alors que tout s'écroule , s'envole, Je sens en moi la descente , serais je folle?
[/rp]
Lolitea sentit des larmes inondée ses yeux , elle enroula le parchemin et le déposa , partit vite se réfugiée dans un calme et isolée. P19 | |
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Messages : 4053 Date d'inscription : 05/04/2008
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